Silas
Datte: 15/10/2020,
Catégories:
f,
h,
ffh,
inconnu,
plage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
hfff,
Auteur: Last one, Source: Revebebe
... grands-parents. Je les considère immédiatement comme mes ennemis du jour, car je suis ici pour le calme ! Je m’installe donc à une vingtaine de mètres en contre-bas des affaires abandonnées, histoire de ne pas être trop loin de l’eau, et je décide de foncer me rafraîchir. Je suis là pour ça, et pour en profiter.
Après une longue hésitation et un court combat avec ma pudeur, je décide de me passer de maillot de bain, pour la première fois de ma vie. J’arrive à me convaincre de franchir le pas, d’ailleurs il n’y a quasiment personne sur cette plage, qui en a vu d’autres. Mes voisins les plus proches, et le couple que je peux apercevoir, sont certainement des adeptes du bronzage intégral. Allez ! À moi la liberté ! Je vais sentir le vent et l’eau sur mon corps, me caresser de la tête aux pieds. Mais il me faut quelques instants pour m’habituer à cette sensation nouvelle : dans l’eau, sentir les vagues venir chatouiller mes testicules fraîchement rasés, car je n’aime pas trop les poils. On a beau dire, mais on se sent tout de suite libre, rapidement à l’aise, voire même un peu émoustillé, en ce qui me concerne. Je crois, sur le moment, que l’eau, un peu trop fraîche à mon goût, aura raison du moindre début d’érection, alors que j’éprouve une certaine excitation à vouloir marcher nu jusqu’à ma serviette. Je savoure ces moments rares, je ferme les yeux et laisse le soleil réchauffer mon corps, jusqu’à m’assoupir légèrement.
Je suis réveillé par des bruits de conversations ...
... qui se rapprochent. Les yeux mi-clos, je vois deux silhouettes revenir du bord de l’eau. C’est seulement lorsqu’elles passent à ma hauteur que je découvre que mes voisins sont en fait deux voisines, et je suis surpris de ne pas me sentir trop gêné par ma nudité. J’ai pourtant senti leurs regards se poser sur moi, des pieds à la tête (j’en aurais fait autant). Mon premier réflexe est de vérifier discrètement si mon sommeil ne m’a pas joué un tour et érigé mon sexe en cathédrale, comme cela arrive parfois. Il n’en est rien, heureusement. Dans le cas contraire, je crois que je serais reparti fissa, la queue entre les jambes (et le nombril !), sans un mot, sans un regard et rouge de honte.
Soyons sincères, la plage est aussi un lieu pour observer, pour ne pas dire reluquer, avec plus ou moins de discrétion et d’élégance. Je décide donc de ne pas me priver et d’admirer ces deux naïades aux seins nus, aperçues juste auparavant. Et puis si j’ai bien vu, elles ne s’étaient pas privées d’ « admirer » mon anatomie au passage. L’air de rien, je change donc de position et m’allonge sur le ventre, les lunettes de soleil sur le nez et un livre ouvert devant moi. Je peux mater comme bon me semble, c’est peut-être pour ça que j’aime tant la plage. Les deux sirènes trient les coquillages qu’elles viennent de ramasser en bordure de mer. Cette vue m’enchante, l’observation discrète et minutieuse que je mène me permet de parcourir des yeux leurs corps agréablement bronzés. J’essaye de rester ...