Le fabuleux destin de Benjamin (11) - Histoires de Sexe

Le fabuleux destin de Benjamin (11)

... maintenant les yeux plongés dans le décolleté d’Anita. Il ne s’aperçut même pas que sa femme partait aux toilettes.

Arrivée aux toilettes, Debora ne fit même pas attention à verrouiller la porte, elle souleva sa robe, baissa son string et s’assit sur la cuvette, elle essaya d’analyser son trouble et ce qu’il se passait, elle mourrait d’envie de sentir la main de Benji contre sa chatte, et son mari ne se préoccupait même pas d’elle, alors en regardant son string à ses chevilles, et en repensant à la phrase de Benji, elle souleva les pieds pour retirer son string. Elle se dit qu’elle devait être folle, elle allait être nue sous sa robe, mais elle ramassa son string par terre et après avoir essuyé sa petite chatte fraichement épilée.

Elle sortit des toilettes avec son string bien caché dans son poing fermé, elle prit une profonde inspiration et se dirigea vers la salle à manger, en sentant sa chatte à l’air sous sa robe. Bien qu’elle venait de l’essuyer avec du papier toilette après avoir uriné, elle la sentait déjà s’imbiber de cyprine.

Elle avait peur que son mari s’aperçoive de quelque chose, mais comme depuis le début de la soirée, il n’avait d’yeux que pour les seins de ses voisines. Son attitude conforta Debora dans son envie de lui en faire baver. Et alors qu’elle reprenait sa place à table, Benji tendit sa main discrètement comme pour attendre qu’elle lui donne quelque chose.

Etrangement, elle n’eut aucun scrupule à lui donner son string imbibé de cyprine, ...

... elle le vit porter subtilement sa main à son nez, pour humer son parfum intime, et cela excita d’avantage Debora. Elle le vit ranger son string dans sa poche et alors que tout le monde commençait à manger, il reposa sa main sur sa cuisse.

Tout en mangeant d’une main, il remontait l’autre doucement entre les cuisses de Debora, celle-ci écartait les cuisses sans aucun remords. Elle laissa Benji venir lui caresser le clito tout en mangeant difficilement.

De son coté, Luis n’arrivait pas à détacher ses yeux des seins de ses voisines de table, il faut dire que depuis l’apéro, celles-ci n’arrêtaient de lui mettre leurs superbes poitrines sous le nez, et quand ce n’était pas les seins de Zita, c’était le cul d’Anita qu’il avait tout le loisir de mater quand elle se penchait, il avait même pu constater qu’elle ne portait pas de culotte. Il était fou d’excitation avec ces deux salopes qui l’aguichait. Il sentait sa queue bien raide dans son froc.

Il ne faisait plus trop attention à sa femme, et il ne se préoccupa plus du tout d’elle, quand, après avoir ramené le plat de la cuisine, Anita posa sa main sur sa cuisse. Il la regarda et elle lui fit un clin d’œil complice, juste après, il sentit, cette fois, la main de Zita se poser sur son autre cuisse.

Elles remontèrent rapidement leurs mains vers la bosse que formait la queue de Luis dans son froc, il ne put que les laisser faire, trop heureux d’avoir deux femmes pour s’occuper de sa queue.

Mais quand elles commencèrent à ...