Avec des amies comme ça… (23)
Datte: 14/10/2020,
Catégories:
Trash,
Auteur: Victor_lepieux, Source: Xstory
Si auparavant je me morfondais dans un désespoir noir, j’acceptais cependant ma situation. Je considérais mon asservissement comme naturel, comme une évidence. Mais maintenant, ce n’était plus le cas. Je savais qu’il était possible de m’en sortir, et je cherchais chaque occasion de rendre les coups. Et ce n’était pas évident, rien ne se présenta pendant une semaine, une longue semaine… Sept jours que je passais à lécher la chatte de mes amies. Je les voyais sourire et gémir pendant que j’avais le visage entre leurs cuisses, ma langue profondément enfoncée dans leur moule. Je savais depuis samedi dernier comme il était délicieux de se faire bouffer l’abricot, quel plaisir sensuel extraordinaire ça représentait et comme il était bon de se faire titiller le bouton d’amour. Je rageais en silence d’être celle qui devait leur faire ce bonheur. D’autant que jamais je ne recevais un mot de remerciement. Tout ce qu’elles pensaient à me dire était quelque chose du genre : « Lape-moi la mouille, salope, puis apporte-moi un café. »
Quant à Jeanne, elle ne demandait rien… elle avait bien trop peur de ce que je pouvais lui faire subir si elle me déplaisait. Elle avait raison, si je n’avais pas fait attention à me maîtriser, j’aurais pris un grand plaisir à chercher un coin tranquille pour passer ma rage sur elle et la fouetter jusqu’aux sangs. Mais, bien à contrecœur, j’évitais de lui infliger de nouveaux sévices qui auraient pu l’inciter à dévoiler mon chantage. Rien ne serait pire ...
... qu’Hélène apprenant que je me rebellais. Je me contentais donc de menaces pour la garder sous contrôle.
C’est mercredi que j’appris que Victoria allait organiser une fête chez elle. Elle comptait célébrer la victoire de Jeanne en grande pompe, elle avait fini première à son sprint samedi dernier. Ce fut une des rares fois où j’eus envie de rire : pour avoir voulu s’élever grâce à ses performances, elle devait maintenant s’abaisser à me servir de chienne.
En tout cas, pour Victoria cette fête était une bonne excuse pour s’éclater, d’autant plus que son père serait absent ce week-end. En entendant ça, je ne savais pas encore ce que j’allais faire, mais il me semblait que le destin m’offrait une chance de remettre les pendules à l’heure. Mon cerveau se mit à carburer toute la journée et toutes les nuits pour mettre un plan au point.
La journée ce n’était pas évident, le jeudi et le vendredi furent particulièrement durs pour moi. La rumeur s’était répandue qu’il suffisait qu’on me siffle pour que je propose une pipe, et depuis j’avais l’impression de me retrouver au milieu d’une volière. Quand je faisais semblant de ne pas entendre un des sifflements, une de mes amies ne manquait pas de me le signaler : « Dis, Fifi, je crois que ce garçon te siffle. C’est sans doute qu’il t’appelle, tu crois pas ? » Et je n’avais pas droit de donner d’autre réponse que "oui", je devais donc aller voir le type et demander : « Monsieur, vous m’avez appelé ? De quelle façon moi et ma bouche ...