1. 1ere fois avec ma voisine (2)


    Datte: 14/10/2020, Catégories: Hétéro Auteur: jaimelalingerie2, Source: Xstory

    ... instant."
    
    Quelques minutes plus tard, elle entrouvrit le rideau et me fit entrer. Elle était superbe. Elle portait la guêpière blanche, les bas blancs Wolford et ses escarpins. Sa chatte était fraichement taillée. Elle me dit alors tout doucement :
    
    "Assieds-toi sur le tabouret"
    
    Je m’assieds. Elle s’avança vers moi, son sexe humide à hauteur de mon visage et je pus commencer à la lécher. Ma langue passait doucement entre ses lèvres. Je souhaitais aller doucement et y mettre autant d’application et de tendresse qu’elle dans la voiture.
    
    Son bassin faisait de petits mouvements et elle mit ses mains derrière la taille pour rester plaquée contre moi. Je craignais qu’on soit découverts, mais je retournais vite à d’autres pensées. Ma belle Valérie commença à gémir et je sentais son entrejambe s’humidifier de plus en plus. Elle me caressait les cheveux en plaquant ma tête contre son humidité.
    
    Elle prit ensuite un peu de recul, mis son doigt sur sa bouche et me dit :
    
    "Viens, prends-moi par derrière."
    
    Je passais alors derrière elle. Elle posa son escarpin sur le petit tabouret et je commençai à la pénétrer. Elle était trempée. Je ne sais quels sentiments la traversaient : l’excitation de mon cunnilingus, la cabine d’essayage où l’on pouvait être surpris à tout moment, le fait de tromper son mari, qui plus est avec le voisin ...
    
    Je n’avais pas encore remarqué, mais la cabine disposait d’une glace, et je pus alors voir son visage. Le plaisir la débordait, mais ...
    ... elle essayait de le contenir. En me voyant la regarder, elle me fit un large sourire et je pus lire sur ses lèvres.
    
    « Prends-moi plus fort, défonce-moi »
    
    Je ne me fis pas prier et accentuait les coups. J’étais tellement excité de la prendre comme ça, en guêpière, par derrière et en plus presque en public. Son visage parachevait ce sentiment de plénitude. Le fantasme que je gardais depuis tant d’années était enfin réalisé. Je sentais sa chatte si douce contre mon membre, elle était trempée et je pouvais en profiter comme bon me semblait. Je la sentis soudain se contracter et ralentir dans ses mouvements. Je ralentissais moi aussi et jouis en même temps qu’elle en essayant de faire le moins de bruit possible.
    
    Nous laissions échapper un soupir de contentement et reprîmes nos esprits. Je sortis discrètement de la cabine pendant qu’elle reprit les parures qu’elle avait choisies et remis la guêpière sur son cintre. Nous avions repris notre souffle et nous dirigions vers la caisse. Elle demanda à la vendeuse où remettre les parures qui ne lui allaient pas.
    
    « Vous pouvez me les laisser, je les rangerai »
    
    Elle regarda la première et dit avec un large sourire complice :
    
    « Effectivement, le 85 B ne devait pas vous aller »
    
    Elle nous avait effectivement en orientant les autres clients vers les cabines qui se trouvaient à l’autre bout du magasin.
    
    Valérie se mit à rire, mais elle était rouge pivoine. La voir aussi gênée m’amusa alors qu’elle semblait si sûre d’elle ...