Luc
Datte: 14/10/2020,
Catégories:
fh,
jeunes,
amour,
volupté,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
pénétratio,
jeu,
Auteur: Frédichounet, Source: Revebebe
... montrait. Peu importe que j’éjacule comme un puceau dans mon caleçon. C’est elle qui l’a fait cesser, en tirant ma tête vers le haut, en me tenant par les cheveux.
— Mouais, c’est pas si mal… pour un empoté, s’est-elle moquée, une lueur de malice au fond des yeux.
En même temps, elle poussait sa poitrine dans ma main, pour en accentuer le contact.
Je voyais dans ses yeux qu’elle ne se moquait pas vraiment de moi. Elle me provoquait, ça c’est sûr, et ses yeux semblaient me dire :
"… mais je sens que tu peux faire mieux que ça !"
Alors j’ai voulu lui montrer comment moi, j’avais envie de l’embrasser. Pendant de nombreuses secondes, mes lèvres ont frôlé et caressé les siennes, puis nos bouches se sont soudées l’une à l’autre et j’ai fait claquer quelques "smack", mes lèvres à peine entrouvertes. Déjà, elle ne bougeait plus. Seules quelques ondulations de son bassin me montraient qu’elle appréciait ces préliminaires. Quand j’ai poussé ma langue entre ses lèvres, elle l’a laissée passer. J’ai attendu que sa langue arrête de frétiller dans sa bouche, avant de presser la mienne à son contact, comme pour lui dire de me laisser faire. Deux choses sont tombées de part et d’autre de nos corps et je n’ai plus senti ses mains sur ma nuque, dans mon dos. Alors dans une recherche de sensualité, d’érotisme, ma langue est allée s’enrouler autour de la sienne, pour une danse bien moins endiablée que la sienne. Je voulais la goûter et qu’elle me goûte en retour. De temps en ...
... temps, nos lèvres se décollaient et seules nos langues continuaient de faire connaissance, à l’air libre. Cela nous permettait aussi de reprendre nos souffles… ou de gémir, ce qu’aucun de nous ne se privait de faire. Par moments, nos lèvres se collaient à nouveau, mais toujours, je revenais à celui où nos langues se cherchaient, libérées de la prison que formaient nos bouches. Je léchais ses lèvres et elle les miennes, et le baiser s’éternisait, ne durait pas assez longtemps. Elle poussait maintenant de petits cris, dans ma bouche ou contre mes lèvres, et mes halètements lui répondaient.
Comme à regret, lentement, j’ai éloigné mon visage du sien, et j’ai rouvert les yeux. Je crois que je suis tombé amoureux, sur-le-champ, de son air alangui, de son sourire, pas encore tout à fait rassasié. Elle me regardait, les yeux mi-clos, humides. Elle semblait ne plus pouvoir bouger. Elle a ouvert la bouche, l’a refermée, puis l’a rouverte :
— J’ai pas tout compris… j’peux pas en avoir encore un peu, m’a-t-elle murmuré, de sa petite voix timide.
Moi, j’adorais sa façon de s’amuser avec moi, alors je lui ai dit, provocateur, bien que je meure d’envie de l’embrasser encore, en m’allongeant à nouveau à ses côtés :
— Non… ou alors, va falloir venir le chercher…
Je ne sais pas si je mesurais bien le risque que j’encourais… ou peut-être n’y en avait-il aucun… Quoi qu’il en soit, elle n’a fait aucun chichi, s’est carrément allongée sur moi, ses jambes de part et d’autre des miennes, ...