Luc
Datte: 14/10/2020,
Catégories:
fh,
jeunes,
amour,
volupté,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
pénétratio,
jeu,
Auteur: Frédichounet, Source: Revebebe
... laissant son image s’imprimer quelque part dans mon cerveau, où je pourrais aller la récupérer quand j’en aurais besoin.
— Mon chéri, tu pourrais me ramener vite fait à la maison… parce que ça c’était juste les hors-d’œuvre !
— D’accord… c’est parti !
…
Quand on est arrivés devant chez elle, la chance semblait avec moi : j’ai trouvé une place presque devant la porte de son immeuble. Elle est descendue sans un mot, et a attendu que je descende et que je verrouille ma porte en faisant une chose bizarre : elle faisait mine d’écraser quelque chose avec son pied droit, les genoux en dedans et les mains dans le dos. Avec sa jupe au-dessus des genoux, son chemisier blanc et sa queue de cheval, elle avait tout d’une ingénue. Sauf que son regard n’était pas, mais alors pas du tout celui d’une jeune fille timide.
J’ai fait le tour du véhicule et, résolument, j’ai marché jusqu’à elle, en ne la quittant pas du regard. Là, je n’ai pratiquement pas marqué de temps d’arrêt. Mon bassin est venu, tout doucement, se lover contre le sien, et tout en glissant ma bouche contre la sienne, tout aussi lentement, mes mains se sont glissées sous sa jupe, ont pris possession de ses fesses et les ont malaxées en écrasant nos bas-ventres l’un contre l’autre. Tout de suite, elle a gémit et moi aussi. J’ai commencé à faire bouger ma langue en "oubliant" les effleurements et les "smacks". Elle a empoigné, d’une main, mon épaule gauche et de l’autre le col de ma chemise, et je l’ai sentie ...
... "fondre" dans mes bras mais répondre à mon baiser.
Plus aucune notion de temps n’existait.
Mais quand je suis parvenu à récupérer mon souffle, après avoir fait cesser le baiser, son visage était toujours extrêmement rougi et brûlant. Je lui ai affirmé, avec la plus extrême douceur dans la voix, mais beaucoup de conviction :
— Quand je t’aurai montré comment j’ai l’intention de t’aimer… comment je ne cesserai jamais de t’aimer, c’est toi qui ne me laisseras plus jamais partir !
Il ne fallait surtout pas que je la lâche, parce que je ne sais pas si elle aurait tenu sur ses jambes. Ses yeux, à peine entrouverts à la fin de notre baiser, n’avaient pas changé. Elle a soufflé un long soupir quand j’ai glissé mon avant-bras droit sous ses genoux. Elle ne pesait pratiquement rien. J’ai ouvert la porte d’allée avec le pied et je l’ai portée jusqu’à son troisième étage, où je l’ai posée. Elle a ouvert le verrou. J’ai fait jouer la poignée et l’ai reprise dans mes bras. J’ai attendu qu’elle referme au verrou, mais elle m’a murmuré, alanguie :
— Non… on ferme jamais quand quelqu’un est à la maison.
— Vous devriez, c’est dangereux !
— Mais non… chuis ceinture marron deuxième niveau de Judo.
— Ouais… et moi, j’suis ceinture platine, douzième dan de Kamasoutra !
Elle a eu un petit rire et j’ai avalé la distance jusqu’à sa chambre, jusqu’à son lit. Puis je l’ai posée au sol, et me souvenant de la dernière fois que j’étais venu ici, j’ai demandé :
— Ça va ?
— Oui, ...