1. Luc


    Datte: 14/10/2020, Catégories: fh, jeunes, amour, volupté, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, jeu, Auteur: Frédichounet, Source: Revebebe

    ... générale n’a pas empêché Jennifer d’arrêter tous le monde, au milieu de l’assiette de mon oncle. Il n’a fait aucune histoire et a pris son cachet comme un "bon petit garçon sage" !
    
    On a quand même eu droit au café de fin de repas (sauf Raymond, qui n’avait droit à aucun excitant), et après celui-ci, elle a débarrassé la table et a posé cinquante euros sur le comptoir sous les protestations inutiles de ma tante. Cette dernière l’a finalement laissée faire, mais s’est exclamée :
    
    — D’accord, mais c’est le premier et le dernier repas que tu payeras ici !
    
    Pour dire "au revoir" à tout le monde, elle a fait comme à la fin du dîner de la veille : elle les a enlacés les uns après les autres, a eu un mot pour chacun d’eux, leur a fait une bise et les a lâchés, comme à regret.
    
    Ma tante a refermé derrière nous après nous avoir souhaité bonne nuit et moi j’étais un peu gêné, parce que je savais que Samuel allait les aider à "fermer", et que mes parents avaient renoncé à la recette du samedi soir, pour faire plaisir à Jennifer. L’embarras n’était pas très grand parce que je savais qu’aucun d’entre eux ne me tiendrait rigueur de mon abandon.
    
    Ma princesse m’a tendu la main en me disant :
    
    — Tu m’ramènes sur ton destrier, mon preux chevalier ?
    — Bien sûr, mais y faut qu’j’aille récupérer les clés.
    
    Et bon… je suis retourné devant la porte, mais avant que je fasse mine de la déverrouiller, elle s’est ouverte devant moi et ma tante m’a tendu les clés et les papiers de la ...
    ... camionnette en me murmurant :
    
    — Pas la peine de rentrer demain.
    
    Tandis qu’on marchait, main dans la main, en direction de notre garage, je lui ai demandé :
    
    — Eh ben dis-donc… c’était quoi, tout ça ?
    — Rien… j’ai juste réglé deux-trois choses qui me gênaient… d’ailleurs, tu vas y avoir droit, toi aussi !
    — Ah bon ?
    — Ouais… et quand j’en aurai fini avec toi, si j’y arrive, t’auras plus jamais envie de me laisser, m’a-t-elle menacé, avec la même expression sur le visage que lorsqu’elle m’a dit qu’elle allait se caresser en pensant à moi, la nuit précédente.
    — Je ne suis pas celui que vous croyez !
    — Ouais, et ben on verra… Au fait, on va où là ?
    — Au garage de la camionnette.
    — C’est encore loin ?
    — Non, deux minutes.
    
    Elle a pressé le pas.
    
    …
    
    Quand j’ai eu ouvert la porte du garage, et celle de la camionnette, elle s’est faufilée avant moi dans l’habitacle. J’ai refermé la portière et j’ai entendu :
    
    — Attends avant de démarrer… recule ton siège !
    — Hein ?
    
    Elle n’a pas répondu. Au lieu de ça, elle s’est attaquée à ma ceinture, des deux mains.
    
    — Recule ton siège, j’t’en prie.
    
    Elle avait fini de déboutonner mon Jeans. De sa main gauche, elle a tiré sur l’élastique de mon caleçon et a glissé sa main droite dedans. Il valait mieux pas que je discute, alors j’ai enfin fait ce qu’elle me demandait. En même temps qu’elle sortait mon sexe de mon caleçon, elle m’a enjambé et a posé ses fesses sur l’arrondi inférieur du volant. Puis, elle a remonté sa ...
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