Luc
Datte: 14/10/2020,
Catégories:
fh,
jeunes,
amour,
volupté,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
pénétratio,
jeu,
Auteur: Frédichounet, Source: Revebebe
... a dit :
— Bonjour Sam… Tu peux nous laisser seuls, Raymond et moi… Toi aussi Luc, a-t-elle ajouté, en se tournant vers moi. S’il vous plaît.
Le jeune homme s’est levé, et elle l’a enlacé, lui a fait une bise, et lui a dit : "Merci", avant de le laisser partir. Je l’ai entraîné jusqu’au comptoir, où je lui ai offert une "prune" après lui avoir serré la main, sans rien dire. Elle s’était assise tout près de mon oncle. Ils sont restés à peu près cinq minutes à parler tous les deux. Après quoi, Jennifer s’est levée et est passée près de nous sans rien dire, mais en nous lançant un petit sourire. Elle avait pleuré, un peu. Elle a continué son chemin, derrière le comptoir, pour s’arrêter une ou deux secondes, à l’entrée de la cuisine. Puis elle a disparu, on a entendu : "Tiens, salut Jennifer", et elle est ressortie de la cuisine. Elle tenait deux petites boîtes dans sa main, a pioché un verre sur le présentoir, une carafe d’eau, et est retourné s’asseoir à côté d’un Raymond muet. Posément, elle a ouvert une première boîte, en a retiré un papier qu’elle a lu recto-verso et on a entendu :
— Bon, celui-là, on doit le prendre au milieu de chaque repas, midi et soir !
Elle a posé la boîte à côté d’un Raymond toujours aussi muet, après y avoir remis le papier et l’avoir refermée, et a répété l’opération avec la deuxième :
— Et celui-là, c’est un le midi et un le soir aussi, mais avant chaque repas… C’est quand même pas compliqué !
Elle a dégagé un cachet, a versé de ...
... l’eau dans le verre et a dit :
— Allez hop… et on ne discute pas !
Moi, je savais que je devais m’attendre à tout avec elle, mais je devais sans doute afficher le même air ahuri que Sam. Mon oncle a pris le cachet sans prononcer la moindre parole, et surtout, sans exploser, comme je l’avais craint.
— Et si y faut que je vienne à chaque repas pour vous les enfourner, je le ferai !
Elle est repassée près de nous, m’a fait un clin d’œil et m’a murmuré :
— Tu m’diras quand j’en fais trop, d’ac ?
— Ben apparemment, tu peux lui dire, et lui faire faire n’importe quoi, toi, lui ai-je répondu, sur le même ton confidentiel, n’en revenant toujours pas.
Elle est retournée à la cuisine et on a entendu :
— Ça sent bon, ce que vous nous avez préparé, Geneviève… c’est quoi ?
— Paëlla.
— Mmmh… super… ça va être facile à servir, alors.
Samuel et moi, on ne parlait pas. Parfois, on se regardait, et je voyais très bien qu’il se demandait jusqu’où elle allait aller. Moi, je me demandais ce qu’elle avait bien pu dire à mon oncle, quand ils avaient parlés tous les deux, et en même temps, j’étais en attente de "voir la fin du film".
— Et je suppose que tu vas me virer de ma cuisine, maintenant ?
— Oh non, jamais j’ferai une chose pareille… mais vous m’avez dit, tout à l’heure, que vous étiez d’accord, et j’aimerais beaucoup que vous fassiez ça pour moi… et j’voudrais vous parler, à vous aussi. On peut s’asseoir, deux minutes ?
Pendant qu’elles se faisaient leurs ...