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Luc
Datte: 14/10/2020, Catégories: fh, jeunes, amour, volupté, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, jeu, Auteur: Frédichounet, Source: Revebebe
... reste ! — Oh là, oh là… comme vous allez vite en besogne… L’amitié, ça s’mérite… t’es pas la reine d’Angleterre ! — Hihihi… j… je vous somme de vous arrêter ! — Bien, Votre Majesté ! — Tu s’rais pas un peu dingue toi, des fois ? — Ouais ben, j’te signale qu’avant de te rencontrer, j’étais parfaitement sain d’esprit, m’exclamai-je, en louchant exagérément. Elle a éclaté de rire et c’était bon, tout simplement, de voir à nouveau son visage rayonner de ce bonheur. Quand elle a fait mine de replonger vers ma bouche, en me le montrant avec ses yeux, j’ai levé une main et fait : — Stop ! Pendant qu’elle s’arrêtait, intriguée, je suis allé tâter la poche arrière-gauche de mon Jeans. Ouf, ils y étaient ! J’en ai ramené un paquet de mouchoirs, duquel j’en ai extirpé un : — Allez… un grand coup d’trompe là-d’dans ! — Tu trouves que je ressemble à une éléphante ? — Chut… mouche-toi, parce que ça donne franchement pas envie ! — Méchant ! — … Et puis… est-ce que la reine d’Angleterre se présenterait ainsi en public… Tu devrais y penser, chaque fois que tu as un gros chagrin ! — Arrête… c’est gênant… — Mais non, mais non… allez… on a fini son gros chagrin ? — Mais arrête, imbécile… hihihi ! Bon. Quand j’ai eu fini de la moucher, j’ai fait, toujours en levant la main : — Re-stop ! Et là, elle a tellement rigolé qu’elle s’est retrouvée allongée à côté de moi. Elle semblait souffrir à force de rire. Alors je me suis penché sur elle et, à l’aide d’un mouchoir ...
... tout propre, j’ai épongé ses larmes de tristesse et de joie. Je n’ai pas attendu que son fou rire s’arrête, pour effleurer à nouveau ses lèvres des miennes, et elle s’est calmée très rapidement. Je lui ai offert le même baiser que tout à l’heure, point par point, sauf que là, il avait le goût de l’amour que je ressentais pour elle. J’ai pas compris, du tout ce qu’il s’est passé mais, tout à coup, je me suis retrouvé à la place du dessous. Ses yeux pleins de malice m’attendaient quand j’ai ouvert les miens. — Y vaut mieux que t’arrêtes de m’embrasser comme ça, sinon je te viole sur place… gosses ou pas ! Elle souriait, et en même temps, je voyais qu’elle ne plaisantait qu’à moitié. Elle a fait une autre chose folle : elle a posé sa main droite sur ma queue. Par-dessus mon Jeans, elle l’a tâté sur toute sa longueur, des bourses jusqu’à son extrémité. — Ben dis-donc… vous avez un permis de port d’arme, pour ça, monsieur ? — Je ne vois pas de quoi vous voulez parler, "madame le policier", ai-je cru bon de fanfaronner, en posant mes mains au-dessus de ma tête. Je dirai tout ce que vous voulez savoir, inutile de me torturer ! — Ouais ben, je crois que vous êtes bon pour une visite à mon poste de police ! — Je me permets de signaler à madame qu’il est fermé, mais si je suis en état d’arrestation… Je vous rendrai mon arme, vous en ferez tout ce que vous voulez ! — Oui ben, quand ça devient une question de vie ou de mort… attendez là et ne bougez pas… juste un coup de ...