1. Une tromperie


    Datte: 13/10/2020, Catégories: fh, voisins, pénétratio, Auteur: Lise, Source: Revebebe

    Ce soir-là, comme pratiquemment chaque vendredi soir, toutes les semaines, je suis allé prendre l’apéritif chez nos voisins, Michel et Madeleine. Un gentil couple d’une trentaine d’années, sans enfant.
    
    Je savais depuis longtemps que c’était leur regret, surtout son regret à elle. Et je savais qu’ils nous enviaient, car nous avions, nous, cinq enfants.
    
    Comment cela a-t-il bien pu venir dans la conversation, je n’en sais trop rien. Toujours est-il que j’appris de la bouche de Madeleine que cette absence d’enfant était due à une défaillance de son mari. Michel n’avait pas assez de spermatozoïdes pour pouvoir engrosser sa femme. C’était pour Michel une terrible situation, car Madeleine supportait très mal cela. Ils avaient pourtant essayé toutes les techniques possibles et imaginables. Mais ni les consultations médicales, ni les régimes, ni les médicaments ne parvinrent à résoudre leur problème. Et puis Madeleine ne voulait pas de fécondation avec un donneur anonyme. Le problème devenait insoluble. Alors l’idée leur était venue de faire appel à un géniteur connu ayant fait ses preuves. Et c’est ainsi que, de fil en aiguille, ils pensèrent à moi, qui était le père de cinq enfants.
    
    Donc, ce soir-là, avec quelques difficultés, ils me demandèrent d’être ce géniteur. Comme Madeleine était une très belle femme, très attirante, l’idée de coucher avec elle me plaisait bien car elle avait tout ce qu’il fallait là où il fallait. Une poitrine généreuse, mais que l’on devinait bien ...
    ... ferme, une cambrure qui était plus qu’une invitation à venir y voir de plus près, mais bien une invitation à une pénétration. Enfin, un homme normal ne pouvait pas être insensible à son charme. Il émanait d’elle une sensation de sexualité demandant à être comblée d’urgence.
    
    Et je dois dire que j’aimais la regarder, et qu’il y a longtemps que je pensais à elle en faisant l’amour avec mon épouse.
    
    Je ne pouvais pas refuser une telle proposition.
    
    Avec la promesse que ma femme n’en saurait rien, j’acceptais ce rôle.
    
    Et Madeleine me dit que c’était justement la bonne période.
    
    J’allais donc aussitôt avec elle dans leur chambre, et ce fut immédiatement un coït dans la position du missionnaire, rapidement suivi d’un autre en levrette et enfin, après un petit repos, d’un troisième dans la position d’Andromaque. Madeleine eut chaque fois un orgasme.
    
    Michel nous attendait dans la salle à manger. Il demanda à Madeleine si cela s’était bien passé. Elle lui répondit qu’avec la dose de sperme qu’elle avait reçue à chaque coït, il y avait de grandes chances pour que dans neuf mois, elle accouche enfin.
    
    Mais quinze jours plus tard, Madeleine avait ses règles.
    
    Il fut donc convenu que nous attendrions la prochaine période favorable. Et je dois dire que j’attendis ce moment avec impatience. Je sus que Madeleine attendait aussi avec la même impatience, mais était-ce pour la même raison que moi ? Pour elle, c’était une insémination, dans des conditions certes agréables, mais ...
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