1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1156)


    Datte: 13/10/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... dégustâmes avec dévotion la noble semence du Maître, un privilège dont on savait être reconnaissante. Les deux chiens pénitents furent conduits pour le reste de la soirée dans les geôles du Château, attachés par des chaines aux poignets, fixées au plafond, leur permettant à peine de se tenir sur le bout de leurs pieds, dans lesquelles ils restèrent dans le noir la plupart du temps, sauf tous les quarts d’heure où la porte s’ouvrait sur un domestique qui venait les fouetter pendant dix minutes... soumise Keira MDE fut conduite au Chenil où l’attendait une douce couverture et un bon repas chaud.
    
    Dans la Grande Salle à Manger, les festivités continuèrent. Je restais la seule soumise pour occuper 8 Dominants. Et ils s’en donnèrent à cœur joie ! Je fus besognée par tous mes orifices. Je léchais tous les sexes, masculin ou féminin qui se présentaient. Je reçus pour leur plaisir des coups de fouet, de badine, de martinet. Pour leur plaisir, oui. Mais je ne pouvais nier que mon côté maso assumé se régalait également de cette torride soirée orgiaque, et ma chatte ne cessait de mouiller et de couler ! Je fus couverte de tous les spermes, cyprines et urines possibles. Lorsque la soirée s’acheva, j’étais ligotée sur une table, souillée, puante, mais heureuse. Je pensais avoir pu faire honneur à l’éducation que j’avais reçue jusqu’ici. Après que le Châtelain ait raccompagné ses invités jusqu’au bas du perron, Il revint me détacher, et sans un mot, Il saisit ma laisse et m’entraina ...
    ... jusqu’à la salle d’eau des soumis, où Il m’ordonna de me nettoyer, de Sa voix Dominante, laconique. Je n’arrivais pas à deviner sur Son visage impassible si je l’avais satisfait et je commençais à douter de mes certitudes à ce niveau. Lorsque je fus propre, Il ne reprit pas la dragonne de ma laisse en main, Il se contenta de claquer des doigts pour que je Le suive. Je la prenais donc dans ma gueule de petite chienne et je Lui emboitais le pas. Ce qui me rassura un petit peu fut que je reconnus le chemin qui menait à Sa chambre. Il y entra et s’assit sur un fauteuil. Je me prosternais alors devant Lui, et attendis patiemment de longues minutes. Jusqu’à ce qu’Il se lève et vienne jusqu’à moi.
    
    - A genoux, Ma chienne !
    
    Je me mis en position, les mains dans le dos, dos bien droit, tête baissée. Au bout de peut-être cinq minutes, Il posa deux doigts sous mon menton et doucement Il me releva le visage vers Lui.
    
    - Regarde-moi Ma chienne ! Je suis fier de toi ! Tu t’es parfaitement conduite ce soir, tu as fait honneur à l’éducation que tu as reçu ici, tu M’as fait honneur ! Je n’ai reçu que des compliments de mes amis ce soir à ton propos. Je suis heureux de savoir que très bientôt tu deviendras Ma femme esclave. Pour te récompenser, cette nuit, tu es autorisée à dormir au pied de Mon lit. Sois heureuse et reconnaissante de cela !
    
    Il se pencha vers moi et m’embrassa longuement, avant de saisir ma laisse pour l’attacher à un anneau enfoncé dans le sol près d’une couverture. Je ...