1. COLLECTION HISTOIRE COURTE. Baby-Sitter fouineuse (4/4)


    Datte: 13/10/2020, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    Je pensais arrêter cette histoire après la diffusion sur H.D.S, à la demande d’une lectrice du chapitre 1, j’ai commencé à écrire une suite, un petit résumé, c’est parti, j’ai fini le chapitre 2, maintenant le 3 enfin le 4, j’espère qu’il plaira autant à mes lecteurs et la lectrice ayant voulu une suite à ces numéros 1, 2 et 3 …
    
    Après avoir partouzé avec Henri, garçon qui fait battre mon cœur alors que je me pensais insensible au coup de foudre et Wan petite thaïlandaise femme de Nicolas mon prof et amant qu'il semble avoir sorti d’un bordel de Bangkok, elle aussi me faisant craquer, je reçois une invitation d’Henri pour venir dîner dans le plus chic restaurant de notre ville.
    
    Il passe me chercher dans son coupé Audi après m’avoir fait parvenir une robe longue blanche et des chaussures à ma pointure.
    
    Je me demandais comment il avait connu ma taille et la grandeur de mes pieds, quand j’ai vu Wan, j’ai compris qu’ils étaient de connivence et que c’était elle qui lui avait communiqué ces renseignements.
    
    • Sylvie, tu dois te demander ce que Wan fait là, j’ai vu que notre amie te plaisait et comme j’avais la même envie de l’une et de l’autre, j’ai pris rendez-vous avec son mari.
    
    Il m’a appris que tu étais sa maîtresse, j’ai cru que ma tâche serait bien plus difficile, ce n’était pas sans la chance que j’ai, il est amoureux de Françoise, l’une de ses élèves et voulait vendre Wan.
    
    • Vendre Wan et Françoise cette grosse dondon, c’est la plus laide de son ...
    ... cours.
    
    • Il m’a dit qu’elle avait des dons cachés, il n’a jamais autant joui avec elle qu’aucune des femmes qu’il a connues.
    
    • Wan, c’est un salopard, mais tu as dit qu’il t’a vendu !
    
    • C’est normal, ma mère m'a vendu à un bordel de Bangkok, il m’a racheté au souteneur qui me faisait travailler, Henri en me rachetant m’attache à lui.
    
    • Mais c’est de la soumission, une femme est libre, je suis libre.
    
    • C’est ce que tu crois, pourquoi as-tu accepté de venir partouzer avec Véronique et Pierre, tu vas me dire que c’est à cause des CD que tu as trouvées, c’est faux, c’est pour avoir un poste dans le cabinet que tu es venue.
    
    Tu t’es donc vendu, mais tu as bien fait, une femme a un cul et quand on est une salope comme toi ou moi, il faut savoir se vendre, Nicolas m’a vendu pour 50 000 €, mais il va faire une bonne affaire, attend, là, je vais trop vite, tu verras tout à l’heure au dessert.
    
    Je suis intrigué, mais n’a-t-elle pas raison, il est vrai que d’apprendre que j’avais un job de bon niveau d’assuré m’ai permis d’accepter sans broncher de transformer ma chatte en un saladier pour le coulis de fraises à la crème anglaise que nous avons fabriqué avec Henri.
    
    Nous passons à table, pressés de savoir ce que la fin du repas va m’apporter, au cours de celui-ci, nous sommes assis sur une table ronde, je sens le pied de Wan venir sur mes jambes.
    
    Je les écarte, rapidement ce pied dont elle a enlevé sa chaussure arrive à s’introduire en moi comme les femmes l’ont fait pour ...
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