1. Sylvie ou l'amour chaste


    Datte: 12/10/2020, Catégories: fh, hplusag, Collègues / Travail intermast, nopéné, confession, Auteur: Ondin, Source: Revebebe

    ... transporter les plats et à changer les assiettes. Nous en arrivons au dessert et nous nous retrouvons dans la cuisine pour déposer quelques restes et venir chercher les gâteaux que j’ai en réserve dans le réfrigérateur.
    
    Brusquement, nos visages se retrouvent si proches l’un de l’autre que, presque naturellement, j’en arrive à la prendre dans mes bras. Elle se blottit contre moi, redresse la tête et nos lèvres s’effleurent. Puis nos bouches s’entrouvrent et nous sommes enlacés dans un long baiser. Tout d’abord chaste, il se change vite en baiser fougueux. J’ai envie d’elle depuis tellement longtemps que ma verge se durcit. Mais mon érection me cause une gêne qui m’oblige à m’écarter d’elle. Je n’ai pas envie qu’elle sente la bosse dans mon pantalon. À travers le chemisier, j’effleure délicatement son dos, ses bras, son cou, ses épaules. Je caresse ses cheveux et lui prends la tête dans ma main pour appuyer mon baiser. Nous nous tournons de telle sorte qu’elle est adossée au plan de travail. Mes caresses sont de légers frôlements. À sa respiration qui s’accélère, je sens monter son désir. Elle s’abandonne de plus en plus.
    
    C’est elle qui se cambre alors, venant plaquer son bassin contre ma verge. À travers le tissu de sa jupe, je devine le renflement de son pubis. Je ne peux plus masquer mon désir. Mais maintenant, cela importe peu. Mes doigts continuent à caresser son corps. Ma main parcourt son ventre, remonte lentement vers sa poitrine. Sa respiration s’accélère ...
    ... encore. De courts gémissements ne laissent aucun doute sur le plaisir qu’elle éprouve. Un léger effleurement de mes doigts sur son sein lui arrache un soupir plus profond. Je glisse délicatement une main dans l’échancrure de son chemisier pour caresser sa gorge, la naissance des seins, là où s’esquissent les globes de chair, où l’on commence à deviner la poitrine. Mon autre main glisse dans son dos et se faufile sous la ceinture de sa jupe. Je devine sous mes doigts la raie entre ses fesses. Ma main remonte vers la cambrure de son dos en passant sous le chemisier.
    
    Nos bouches sont toujours collées l’une à l’autre et nos langues jouent ensemble tandis que je poursuis mes caresses sur sa peau si délicate. J’ai envie de descendre ma main sur son pubis mais elle se cambre pour se coller à la bosse de ma verge bandée. Je ne me retiens plus et je me plaque encore plus contre elle. Nos bassins ondulent en se frottant l’un contre l’autre. Mes caresses sur ses seins se font plus pressantes et lui arrachent à chaque fois des gémissements de plaisir tandis que sa respiration se fait plus haletante. Je la sens sur le point de jouir et je commence alors à caresser son pubis avec ma verge. Le fait que nous soyons tout habillés augmente encore l’excitation. J’effectue des mouvements de va-et-vient comme si je la pénétrais. Ses gémissements sont de plus en plus forts, de plus en plus rauques.
    
    Je me prends alors à penser à son mari ; comment a-t-il pu la quitter ? Mais je ne m’attarde pas sur ...