54.9 Un beau mâle brun et très très chaud.
Datte: 12/10/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Fab75du31, Source: Hds
... leurs poils. Ces poils sur le torse qui, comme la barbe sur le visage, contribuent à rendre un mec encore plus mec.
Je trouve même que j’aurais tendance à pardonner plus facilement certaines imperfections à un torse un peu velu qu’à un torse imberbe : un torse pas très musclé, ou même un peu en surpoids, sera plus agréable à mon regard avec quelques poils à caresser.
Bien sûr, le torse de mon bobrun est parfait : avec ou sans poil, sa perfection ne change guère ; un torse musclé, c’est toujours un bonheur à regarder. Mais quand même, ça me plairait grave de voir mon Jérém « au naturel ».
Je sais que mon bobrun n’est pas naturellement imberbe du torse, je sais qu’il entretient sa peau, qu’il rase. Alors, en sachant pertinemment que cette absence de poils n’est pas « d’origine », ma curiosité sensuelle m’a depuis toujours poussé à me demander quel effet ferait sa pilosité naturelle si elle avait la chance de se développer jusqu’au bout. D’autant plus que, au gré de rasages plus ou moins espacés, j’ai pu parfois guetter les débuts de repousse, voir s’esquisser la géographie de sa toison de jeune mâle : hélas, à chaque fois ses poils ont poussé juste assez pour attiser ma curiosité, mais jamais suffisamment longtemps pour assister à un développement complet ; le rasoir du bogoss, mon ennemi, m’en a toujours empêché. Est-ce que ce coup-ci j’aurai enfin la chance de contempler la pousse complète des poils de mon bobrun ?
Je me suis quand même toujours demandé ce qui ...
... poussait les mecs, les bogoss possédant cet atout incroyable d’un torse délicatement poilu, à se le raser, comme si le poil était un défaut. Autant, dans le cas d’une pilosité excessive, je comprends, mais lorsqu’elle est équilibrée, délicate, qu’elle souligne et met en valeur les lignes parfaites (ou même moins parfaites) d’un torse, pourquoi alors la faire disparaître ?
Bref : il y en a qui scrutent le ciel pour guetter des étoiles filantes, des éclipses, des aurores boréales ; mois je scrute le torse de mon beau mâle pour voir repousser ses poils bruns. Chacun son bonheur.
C’est tellement beau tout ça ; j’ai envie de lécher partout, de bouffer chaque centimètre carré de la peau de ce torse, de sentir sous ma langue le frisson de ces petits poils bruns naissants, tout mignons. J’en ai très envie, mais je ne vais pas en avoir le loisir.
Le bogoss, très excité, impatient, s’approche de moi, et c’est au tour de mon t-shirt d’être arraché ; et quand je dis « arraché », c’est sans doute ce qui serait arrivé si mes bras ne s’étaient pas levés au bon moment pour seconder la précipitation de son geste, la fougue de son élan ; putain de petit mâle qui assume ses envies brûlantes !
Le petit mâle passe ses bras sous mes épaules, glisse ses mains dans mon dos ; ses biceps se gonflent, m’attirent contre lui avec un geste rapide, chargé d’urgence sensuelle ; ses pecs rebondis et chauds se pressent contre mon torse, ses épaules rencontrent les miennes, son bassin se colle à mon ...