1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1173)


    Datte: 11/10/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    La Marquise esclave – (suite de l'épisode N°1170) -
    
    J’avalais mon repas avec avidité, et retrouvais plus tard avec bonheur mon Cachot pour une bonne nuit de sommeil… Régulièrement, quand Son emploi du temps chargé le Lui permettait, le Maître m’ordonnait de venir le rejoindre dans Son bureau. A chaque fois que je me désempalais de ma chaise armée de ce gros gode vertical, je retenais de justesse un gémissement de plaisir. Très souvent, pour ne pas dire toujours, des traces de mouille maculaient la chaise tout autour du sexe factice. Je ne devais pas le faire attendre, mais dès que je devais retrouver mon poste, je devais commencer par nettoyer ma chaise avec ma langue, à genoux, les mains dans le dos. Et je n’avais pas intérêt à en laisser une trace. Parfois le Noble exigeait, juste avant que je ne m’enfonce de nouveau sur le gode, de vérifier l’état de ma chaise, et si jamais des traces de souillures y étaient restés, j’étais sévèrement sanctionnée !
    
    Donc le Châtelain me faisait régulièrement venir à Ses pieds pour les préparatifs de notre mariage. Le rituel était toujours le même. Je venais me prosterner à Ses pieds, à la perpendiculaire par rapport à Lui, ma tête devant Ses pieds mais le visage tourné vers le bureau, non vers Lui. Au bout d’un temps variable, passé dans le silence, Il posait doucement mais avec fermeté Son pieds sur mon visage, et je ressentais alors tout particulièrement Sa puissante Dominance sur moi, mais aussi Son pouvoir absolu, mon ...
    ... appartenance totale ! Sans jamais me faire mal, Il appuyait toujours, et je me sentais vibrer, heureuse d’être simplement à ma place. Quand Il retirait Son pied, c’était pour que je puisse tourner ma tête vers Lui, et je me retrouvais avec Sa chaussure toute proche de mes lèvres. Je devais alors, sans quitter ma position, tendre le cou, pour pouvoir y déposer un baiser, avec reconnaissance et dévotion. Ensuite, Il claquait des doigts et je venais à genoux entre Ses cuisses. Il était assis au bord de Son confortable fauteuil de bureau en cuir, et je savais ce que j’avais à faire. Avec douceur, je défaisais la boucle de Sa ceinture, déboutonnais le bouton, puis ouvrais la fermeture éclair. Je baissais Son sous-vêtement, en sortant avec une grande douceur, et une profonde envie et dévotion, Sa noble Verge qui ne demandait qu’à pointer fièrement vers le plafond, et Ses bourses bien pleines, prêtes à être vider. Parfois Il me repoussait légèrement, le temps de refermer le bouton de Son pantalon au-dessus de Son sexe pour ne laisser dépasser par l’ouverture de la braguette que Ses deux grosses couilles et Sa queue dressée…
    
    D’autres fois, c’était le contraire, il baissait jusqu’à Ses chevilles, pantalon et caleçon et je léchais alors avec gourmandise chaque testicule, passant entre elles, allant aussi près de Son anus que Sa position sur le fauteuil me le permettait. S’Il faisait en sorte que cela soit possible, ma langue venait le titiller, y entrant, le léchant sur toutes Ses parois ...
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