1. Mon amie Pascaline (1)


    Datte: 11/10/2020, Catégories: Hétéro Auteur: SIQUOIR, Source: Xstory

    Je me rappelle, c’était il y a bien une quinzaine d’années en arrière, alors que j’étais paisiblement assis dans mon canapé en train de regarder une série télévisée. Quelqu’un vint sonner à ma porte. C’était mon amie Pascaline, une jeune femme que j’avais rencontrée lors d’une soirée chez des amis en commun.
    
    C’était une belle femme, la trentaine passée, grande, cheveux châtain foncé, un beau visage, de grands yeux marron pareils à une vitrine, une poitrine pas trop grande et bien proportionnée, une taille de guêpe et de longues jambes bien effilées. Une vraie poupée, comme on en rêve souvent. Pascaline était une fille des îles avec un teint hâlé qui était venue me raconter ses déboires avec les hommes qu’elle avait rencontrés jusqu’à maintenant.
    
    Elle était en pleurs et en avait marre des hommes car, disait-elle, "ils ne voulaient que me baiser et, lorsque je leur parle d’une relation sérieuse et de fonder une famille, ils me laissent tomber comme une vieille chaussette ". Et elle pleura de plus belle.
    
    Je pris Pascaline dans mes bras, essayant de la consoler comme je pouvais. Je lui fis comprendre qu’heureusement, les hommes n’étaient pas tous pareils et qu’il en restait quand même encore des bons mais qu’ils étaient difficiles à trouver. Je lui proposai de prendre place et qu’on boive tranquillement un verre. Au bout de quelques verres, elle vint se blottir contre moi tout en continuant à me raconter ses déboires. Et puis, d’un coup, Pascaline mit ses deux bras ...
    ... autour de mon cou et vint me rouler une galoche terrible.
    
    D’abord surpris par son comportement, je laissai faire puis, le moment passé, je trouvai cela agréable et je lui rendis la pareille. Nous nous embrassâmes longuement et amoureusement. Je dois avouer que, depuis notre rencontre chez les amis, j’avais toujours fantasmé sur cette jeune personne au corps si parfait. On aurait dit un top-modèle, peut-être un peu plus forte, mais tout de même bien faite, mais je n’avais jamais osé franchir le pas et, maintenant que l’occasion se présentait, je n’allais pas cracher dessus.
    
    Je la pris alors par la main et je pris la direction de ma chambre à coucher. Là, je l’effeuillai de ses vêtements et, à chaque vêtement enlevé, je lui faisais des bisous, là où sa chair était nue, en commençant par lui retirer son pull puis son soutien-gorge pour descendre plus bas vers son bassin. Pascaline était là, à me regarder faire, en me caressant la tête et en approuvant ce que je lui faisais. Du moins, j’avais cette impression et je continuais à lui retirer son tailleur. Quelle ne fut pas ma surprise en ayant retiré celui-ci : je vis qu’elle avait un porte-jarretelle qui lui maintenait des bas de couleur grise avec quelques motifs assez séduisants. De temps en temps, je remontais pour venir l’embrasser et lui irriter ses petits bourgeons d’une couleur rouge foncé, voire même plutôt brunâtre, et lui presser et caresser ses somptueux seins fièrement dressés vers le ciel. Puis, redescendant à ...
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