1. L'enterrement de garçon "Chez Gégé"


    Datte: 21/04/2018, Catégories: Transexuels Auteur: AngelinaTS, Source: xHamster

    ... une pute... j'suis votre pute..
    
    ."
    
    Ses pattes sur mon dos, "Médor II" s'agite dans mes entrailles ; au bout de quelques minutes de pistonnage canin, je sens sa queue devenir comme une grosse boule à l'intérieur de mon cul, il laisse échapper des petits jappements et me lèche le dos pendant qu'il me ramone l'intérieur. Une queue a****le dans le rectum, et ça me plait...
    
    Mon sexe rebande.
    
    Qu'est-ce qui m'arrive nom de dieu, suis-je en train de virer pédé ? Je ne crois pas, je me sens toujours hétéro, mais là, la situation, le contexte, ma tenue de femelle sexy, l'excitation de ces mâles pour moi, sentir leur désir pour mon corps, mes formes, mon cul et ma bouche, sentir leurs queues durcies pour moi, rien que pour moi... Les sentir en moi... Et eux, ils se sentent pédés, eux ? Je suis sûre que non. Huit mecs, un chien, chacun une queue entre 17 et 21 centimètres, dans ma bouche, dans mon cul, et plusieurs fois ! ça en fait des mètres de bites en moi, mon dieu, et j'aime ça - Je ne sais pas, je me sens comme une salope nymphomane !
    
    Le doberman m'encule toujours, et puis je sens une énorme et très longue giclée d'un liquide chaud et visqueux, me remplir le fondement.
    
    Le maître et le chien se sont vidés dans mon anatomie. Je suis de nouveau pleine de sperme, cette fois d'un homme et de ses deux chiens...
    
    Mon cerveau déconnecte - C'est trop de plaisir en même temps, trop de baise, trop de perversité, trop de sexe, trop de sale et trop de bien, trop de ...
    ... jouissances ! J'explose d'un plaisir encore inconnu à ce jour.
    
    Je sens la sève de mes bourses monter dans mon urètre. Je vais jouir. Toujours à quatre pattes, telle la chienne fécondée par le chien, sans même me toucher, mon pénis crache sur le carrelage son trop-plein de plaisir et de jouissance.
    
    Je constate que l'on ne cesse de me prendre en photo.
    
    Mes jambes sont tremblotantes.
    
    Plaisir, crainte, bonheur, honte, jouissance, peur, et encore cette envie d'être saillie...
    
    Ces festivités terminées, trois rugbymen m'att****nt sans ménagement, m'enlèvent le body et me remettent le soutien-gorge, et m'entraînent telle quelle, comme une pute, donc presque nue - toujours avec juste mes bas, mes talons aiguilles, un porte-jarretelles et en soutif - dans leur voiture.
    
    Nous roulons un peu, et quelques kilomètres plus loin, nous arrivons sur un parking réputé pour son activité sexuelle la nuit.
    
    Ils me sortent de la voiture, et moyennant quelques euros la passe (les salopards !), je me fais reprendre par tous les trous. Par je ne sais combien de mecs.
    
    Cambrée contre la voiture et les jambes écartées, ou allongée sur le capot, ou bien encore à quatre pattes à me faire sodomiser par un homme pendant que j'en suce un autre.
    
    Petits, grands, gros, maigres, beaux, laids, tous m'ont labourée, j'ai eu le droit à tout, même un collègue de bureau vicelard à souhait qui reluque toujours les secrétaires en bas et talons... Sûr que désormais, il ne se privera pas avec moi ...
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