1. L'enterrement de garçon "Chez Gégé"


    Datte: 21/04/2018, Catégories: Transexuels Auteur: AngelinaTS, Source: xHamster

    ... qui en redemande. Ils me poutrent sans discontinuer, l'un après l'autre, comme la salope qu'ils ont fait de moi. J'ai une bite dans chaque main, une dans la bouche, parfois deux. Je les branle, leur caresse les couilles, les lèche avec gourmandise, suce leurs sexes, pendant que je me fais défoncer sérieusement le trou de balle.
    
    Ça ne s'arrête pas, et je n'ai pas envie que ça s'arrête.
    
    "
    
    HaaaaaaHHaaAAAaaaaaaaaaaaaaaH ahhhhouiiiiiiii aaaaaH !
    
    "
    
    Jamais je n'ai joui autant.
    
    Je suis remplie de sperme.
    
    J'ai le cul et la bouche qui dégorgent de leurs éjaculations. Les sept rugbymen, plus Gérard, tous m'ont violée, baisée, remplie.
    
    Alain, le jeune Michel, mon brouteur Pascal, Antoine, Victor, Philippe, Norbert et Gérard, huit solides gaillards aux queues épaisses et vigoureuses, viennent d'abuser de moi.
    
    Une fois que tous ont profité de moi, on me retourne de nouveau et m'attache à plat ventre à la table, les fesses en l'air, face au comptoir.
    
    Ils en profitent pour me claquer les fesses, pas trop fort, mais néanmoins une bonne petite fessée, alternant avec des doigts dans mon derrière. Un doigt, puis deux doigts dans le fion, hop une claque, deux doigts, deux claques, puis trois doigts me fouillent le ventre, et encore des claques... Mes fesses me brûlent, dehors et dedans, mais je ne dis rien, soumise et demandeuse.
    
    Je vois Gérard sortir de la cuisine, tenant un gros seau dans la main. Quand il arrive vers moi, je peux lire "Huile de noix de ...
    ... Coco" sur le seau.
    
    Je sens qu'on me colle contre le trou du cul, un objet plutôt froid et dur - on dirait du verre. Gérard me dit :
    
    "Ecoute poulette, tes amis sont tous partis, fatigués ou bourrés, ce qui n'est pas anormal avec les somnifères que nous avons mis dans leurs boissons. Même ta greluche, tu vois, n'est pas revenue, elle a du s'endormir chez vous."
    
    "Pendant que tu t'éclatais comme une bête, j'ai pris un bon nombre de photos, et tu auras beaucoup de mal à faire croire à qui que ce soit que tu n'étais pas consentante, vu tes cris de plaisir et l'ardeur mise à l'ouvrage. Comme tu nous suçais et redemandais à sucer, et comme tu ouvrais ton cul à nos bites !"
    
    "Alors on va continuer à s'amuser, puis on te ramènera chez toi, puisque ta pute n'est pas revenue. Mais tu as encore du temps devant toi. En plus de fermer ta gueule, tu viendras une fois par semaine nous vider nos couilles. N'oublie pas qu'on a fouillé ton sac à main, on sait où tu habites et où tu travailles - si tu ne veux pas que tous tes voisins et collègues voient les photos !"
    
    Il me balance deux bonnes claques en pleine figure et je me mets à pleurer.
    
    Pas très longtemps, car je sens de nouveau le truc pousser contre mon trou de balle. C'est le culot d'une bouteille de bière. Un des gaillard essaie de forcer, mais évidemment, vu la grosseur du truc, ça ne rentre quand même pas comme ça.
    
    Gérard dit : "Laisse, Victor, j'ai amené ce qu'il faut", en prenant le fameux seau d'huile de noix de ...
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