Bon anniversaire
Datte: 11/10/2020,
Catégories:
fh,
hbi,
couplus,
cocus,
anniversai,
Oral
pénétratio,
fsodo,
hdanus,
hgode,
hsodo,
échange,
yeuxbandés,
confession,
Auteur: VincenLise, Source: Revebebe
... l’encule, devrait comprendre que l’égalité homme-femme peut prendre un tour nouveau.
Donc je ne dis pas non.
Agnès sort alors de la boîte de Pandore un foulard, le tend à Isabelle en disant.
— Tiens Chérie installe donc ce foulard sur les yeux de ton amant.
Ma maîtresse qui a vu ce que la boîte contenait marque son étonnement, mais finalement s’exécute. Elle s’applique et vérifie que je ne peux rien voir de ce qui se passe autour de moi.
La nuit, l’obscurité la plus totale. Cela change tout. La dernière vision que j’ai, c’est Isabelle qui m’aveugle, ma femme qui cherche dans sa boîte magique et Marc, mon copain qui se prélasse dans mon fauteuil, une coupe à la main, ne paraissant pas concerné par des jeux entre les femmes et moi. Il a raison mais il sera peut être surpris de voir Isabelle, Agnès peut-être, avec le gode ceinture, enfiler son copain.
Tout prend une dimension particulière dans le noir. On se sent à la fois abandonné, mais aussi le centre du monde, et chaque bruit, chaque chuchotement devient une source propre à élaborer toutes sortes de scénarios. Le bruit d’un verre qui tinte, de liquide qui coule, une chaise que quelqu’un déplace prend des proportions démesurées.
Enfin un contact, on s’intéresse à moi. Isabelle me parle dans l’oreille, faiblement comme si elle ne voulait pas que les autres entendent.
— Mais je ne savais pas. Pourquoi ne pas m’en avoir parlé. Moi aussi j’aurais aimé… Lève-toi.
Bien sûr, j’obéis. Elle me guide mais ...
... nous n’allons pas bien loin. La cuisine. Pourquoi la cuisine ? On me positionne. On me fait pencher en avant. Mon torse sent le contact froid de ce que je devine être le petit bar. Il est étroit et haut, adapté pour deux couverts, pas assez large pour que je puisse m’y allonger confortablement, mes épaules et la tête en débordent.
Mes fesses deviennent le centre d’attention et je ne m’en plains pas. Caresses, claques amicales, juste suffisantes pour faire rosir ma peau blanche sont des préliminaires bien agréables. Difficile de dire, qui de ma femme ou de ma maîtresse se chargent de ce doux labeur. Pareil pour les mains qui écartent ma raie et la bouche qui vient lécher mon anus. La seule chose dont je suis sûr, c’est que les deux doivent participer car je ne connais personnes dont deux mains se plaquent sur mes fesses et une troisième branle ma queue qui pend sous moi.
La voix qui me parle maintenant à l’oreille est celle de ma femme, mais c’est pour me troubler un peu plus.
— Attends mon Chéri. À toi de deviner qui va te prendre le cul. Moi ou Isabelle ?
Au même moment, un doigt se glisse dans mon fondement et s’active délicieusement. Mes appréhensions tombent et ce simple petit bâton libère ma libido. Je n’ai pas honte, je n’ai plus honte, je n’ai envie que de ce plaisir si particulier, si intrusif. Il n’est, je l’espère que l’avant-garde du reste de la troupe.
La troupe, on me la présente aux lèvres. Je reconnais la texture et la forme du gode, le plus gros ...