Québec brûle-t-il ?
Datte: 21/04/2018,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
fbi,
couple,
couplus,
extracon,
extraoffre,
cocus,
Collègues / Travail
ascenseur,
Oral
pénétratio,
fsodo,
hdanus,
québec,
Auteur: Sweetguyqc, Source: Revebebe
... la pénombre la plus totale. Quand il sortit dans la rue, il accueillit avec bonheur la légère brise matinale qui finit de refroidir ses ardeurs. Il releva le col de son manteau et prit la direction du Parlement, marchant vers l’ouest sur la rue Saint-Louis. En passant devant son bureau, il fut tenté d’y entrer mais décida de poursuivre son chemin. Après tout, il devait se préparer pour sa conférence de presse qui aurait lieu dans une heure.
Tout en évitant les flaques d’eau sur le sol, il se remémora la suite des événements de la nuit dernière. Il n’avait pas trop su vers quelle heure, mais il s’était réveillé bien au chaud dans la bouche d’Anastasia qui le suçait doucement. Entre Karen et Sara qui dormaient à poings fermés, la situation l’excita instantanément. Dans la pièce faiblement éclairée, elle le laissa sortir de sa bouche et lui fit signe de se taire, avant de recommencer son manège. Au bout de longues minutes, il regarda parmi les draps et aperçut une bouteille de lubrifiant. Oserait-elle ?
Elle vint finalement, très délicatement, s’asseoir sur lui ; et comme il l’espérait, elle présenta son organe à l’entrée de son anus. Il s’aperçut rapidement qu’elle l’avait préalablement préparée. Elle se sodomisa littéralement sur lui, faisant tout le travail et contrôlant ses mouvements pour ne pas réveiller leurs comparses. Il dut se contrôler pour ne pas crier lorsqu’il sentit ses premières giclées de sperme quitter son corps, déclenchant l’orgasme de son amante. ...
... Cette dernière dut mordre sa main pour éviter d’exprimer vocalement son bonheur. Quelques instants plus tard, ils dormaient de nouveau, lui vautré contre Karen, et Anastasia enlacée avec Sara.
Complètement perdu dans ses pensées, il ne vit pas tout de suite la voiture avancer tranquillement sur l’étroite rue dans sa direction. Quelques enjambées plus loin, il la vit toutefois dans le reflet des vitres d’un café. Il trouva étrange qu’à cette heure plus que matinale une grosse berline de la sorte le suive à quelques dizaines de mètres derrière lui. D’une couleur pâle, il se dit qu’elle ne pouvait pas transporter des agents de ses services. Ses sens en alerte, il se sentit replonger dans les pires moments de son service militaire, lorsqu’un pistolet en main, il devait faire feu dès qu’il percevait une menace dans un stand de tir rempli de cibles de méchants, mais également d’enfants et de femmes. La voix de son instructeur lui revint en mémoire : « Ne faites confiance à personne d’autre que vous-même. Si vous vous croyez en danger, c’est que vous l’êtes. »
Sans trop savoir pourquoi, il tourna à droite sur la rue Sainte-Ursule. Les rues étaient désertes, et lui qui appréciait pourtant tant la solitude habituelle de ces lieux de si bonne heure, il se surprit à souhaiter qu’un groupe de Japonais en voyage sortent d’un café. Mais il était trop tôt pour cela. Tout en déambulant vers le sud, il entendit la voiture stopper et des portières s’ouvrir. Il sortit sonZippo de sa poche de ...