1. Adeline petite soeur (4)


    Datte: 10/10/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: ADRIEN74, Source: Xstory

    Les jours passaient, devinrent des semaines puis des mois, et le monde qui nous entourait Adeline et moi ne suspectât rien de notre relation. La seule interrogation se faisait plus à mon sujet, et qu’à mon âge, ayant un travail, je vive encore chez ma mère. C’était certes étrange, mais mes parents étant divorcés, moi et ma sœur n’ayant plus droit à une pension alimentaire, le maigre salaire de notre mère ne lui suffisait plus. J’avais donc décidé d’attendre un peu et d’aider la petite famille jusqu’à l’autonomie de ma sœur. Ma relation incestueuse m’avait d’autant plus motivé à garder ce choix comme idéal, et en définitive, à rester auprès de celle que j’aimais. J’avais d’ailleurs changé son petit nom, et ma petite puce était devenue ma chérie. Je me gardais bien de l’appeler de cette façon devant notre mère ou nos amis, mais une fois dans l’intimité, il n’y avait plus de sœur, plus d’Adeline, toutes les barrières tombaient et les interdits devenaient des permissions inavouables autant que fusionnelles.
    
    La sexualité d’Adeline s’était débridée totalement, et la petite sœur timide prenait les rennes de nos soirées bien plus souvent que moi, ce n’était pas pour me déplaire. Cela me rassurait même car au-delà de la voir ainsi choisir l’acte ou la position, je savais surtout qu’elle se sentait libre de faire ce qu’elle voulait sans que j’en fus récalcitrant. Nous parlions simplement des choses, sans se cacher une gêne ou une envie spéciale, il suffisait parfois juste que nos ...
    ... regards se croisent pour savoir ce que l’autre voulait. Il y avait maintenant un amour inconditionnel et une fusion passionnée qui se mêlaient à nos jeux, et autant dire que ceux-ci prenaient une dimension des plus phénoménales. Alors qu’elle m’avait offert sa virginité, découvert la levrette, abandonné le tabou des petites gâteries, il restait toujours une chose que beaucoup considèrent comme tabou et que j’aime appeler le passage par la petite porte. Si j’avais pratiqué cela avec d’autres, l’idée de conquérir le globe fessier d’Adeline me laissait perplexe. Je la trouvais si pure, si délicate, que pénétrer ce séant digne d’un trône royal me semblait plus un outrage déshonorant qu’un geste empreint d’amour et de tendresse. Mais elle avait pris tant d’initiatives, franchis tant de tabous que je me décidais à lui en parler. Après tout, ne risquais-je rien d’autre qu’un refus.
    
    Alors que nous étions allongés, cette fois simplement collés l’un à l’autre : « je peux te poser une question, ou plutôt une requête ma chérie ?
    
    — Bien sûr. Qu’est-ce qu’il y a ?
    
    — Je ne sais comment te demander ça gentiment, avec des mots tendres et...
    
    — Allez, vas-y franchement, on n’est plus à ça près.
    
    — Ça te dirait que je passe par la petite porte, ou au moins essayer ?
    
    — C’est rigolo, me répondit-elle comme pour apaiser la tension dont j’avais pu faire montre, je ne connaissais pas cette expression. En clair tu veux mon cul quoi !? »
    
    Je fus autant surpris par sa réponse que par la ...
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