1. Voyage trouble


    Datte: 09/10/2020, Catégories: fhh, hbi, extraoffre, inconnu, grossexe, voyage, train, fsoumise, hsoumis, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral pénétratio, hsodo, Auteur: William, Source: Revebebe

    Corinne et moi sommes mariés depuis un an, mais voilà six ans que nous nous connaissons. Nos parents sont se sont rencontrés en vacances alors que nous avions quinze ans, et depuis nous ne nous sommes pas quittés.
    
    J’ai tout de suite été séduit par Corinne, sa grâce, sa joliesse. Comment vous la décrire ? Elle n’est pas très grande, un joli visage angélique encadré d’une masse de cheveux blonds. En vacances, le maillot deux-pièces qu’elle portait laissait deviner ses petits seins ronds, ses hanches en amphore, ses fesses fermes et rebondies, et Dieu sait que j’ai longtemps fantasmé à son sujet, le soir dans mon lit.
    
    Pourtant j’étais timide, et elle encore plus que moi, je crois. Aucun de nous deux n’a osé faire le premier pas, et il a fallu attendre nos dix-huit ans pour que nous nous embrassions pour la première fois. Autant vous dire que les caresses que nous avons ensuite échangées étaient discrètes, voire pudiques. Tout ceci pour vous expliquer que nous n’avons fait l’amour la première fois que lors de notre voyage de noces. Corinne a accepté une fois et une seule de me faire une fellation. Bref, toute cette présentation pour que vous puissiez situer notre couple, notre état d’esprit.
    
    Il y a six mois, nous avons pris un train de nuit pour rejoindre les parents de Corinne, dans le Sud et, déconvenue, lorsque nous sommes entrés dans notre compartiment, il ne restait plus qu’une couchette de libre sur les quatre, alors que nous avions réservé deux places, une pour ...
    ... Corinne et une pour moi. C’est stupide, mais nous n’avons pas osé protester et déloger l’espèce de gros lourdaud qui était sur la couchette d’en face, celle prévue pour Corinne.
    
    Nous nous sommes donc allongés sur la même couchette, relativement étroite. J’étais du côté de la cloison, Corinne étant un peu claustrophobe. Quelqu’un a éteint la lumière, il ne restait que la faible clarté des veilleuses dans le compartiment. Nous nous sommes glissés sous le drap, Corinne et moi, nous avons ôté nos vêtements discrètement, pour ne pas les froisser, ce qui n’était pas vraiment gênant, puisque personne ne pouvait nous voir.
    
    À sa respiration régulière, j’ai compris que Corinne s’était assoupie. J’étais appuyé contre elle et je me suis soudain aperçu que l’homme, sur la couchette d’en face nous observait fixement. Il était aussi glissé sous le drap et, aux mouvements que faisait le tissu, j’ai compris qu’il était en train de se caresser. Je ne sais pas pourquoi, cela m’a mis dans un état d’excitation intense. Je ne suis pas bi, je pense, même s’il m’est arrivé de faire des rêves troublants.
    
    Corinne était assoupie devant moi, et j’ai senti mon sexe se tendre lentement en voyant le manège de l’homme qui, lui, ne me quittait pas des yeux.
    
    Qu’est-ce qui m’a pris ? J’ai doucement baissé le drap, lui révélant les seins de Corinne, pris dans un soutien-gorge de coton léger. J’ai vu les mouvements de son drap s’accélérer, il m’a encouragé d’un petit signe de tête. C’était de la folie, ...
«123»