La fac, ses plaisirs et ma soeur... (1) - Histoires de Sexe

La fac, ses plaisirs et ma soeur... (1)

... en train de penser à ma sœur et si je continue, mon sexe va commencer à durcir de nouveau !

« C’est bon, tu peux égoutter les pâtes si c’est prêt, moi, je vais m’asseoir. » Bon, c’est tout ce que j’ai trouvé pour cacher mon érection naissante.

Une fois mon assiette servie, je remercie ma sœur et commence à manger. Bon sang, il faut que je m’enlève cette image de la tête. A quoi pourrais-je bien penser pour arrêter de penser à ces magnifiques fesses et à ce bout de dentelle que je pourrais délicatement...

— Bah alors, tu penses à quoi comme ça ? me demande Hélène qui me surprend à rêver.

— Rien; je suis juste un peu fatigué après ma journée. D’ailleurs, j’aurais besoin d’aide, je pense; j’ai un devoir à faire en droit et j’ai du mal pour l’instant, tu pourrais venir m’aider après ?

— Pas ce soir; je suis désolée, je suis surchargée moi aussi; mais promis, demain soir, je m’occupe de ça.

— Pas de soucis.

Une fois, le repas fini, et la table débarrassée, je remonte dans ma chambre; et sans perdre une minute je me glisse dans mon lit et attrape mon ordinateur. Je cherche la vidéo que j’avais sélectionnée tout à l’heure et je commence à me masturber sans perdre ...

... une minute.

Après quelques minutes, l’image de ma sœur me revient en tête et mon sexe commence à devenir beaucoup plus dur, ma respiration est haletante et je sens que je vais jouir très rapidement. Je ne me préoccupe même plus de la vidéo, mes yeux sont fermés et la seule image que j’ai en tête c’est ma sœur que je déshabille sous toutes les coutures à l’aide de mon imagination. Je la vois dans des tenues qui font durcir mon sexe à un point que j’ai l’impression qu’il va exploser. A peine quelques secondes après l’avoir imaginé dans une tenue beaucoup plus légère, mais dans la même position que tout à l’heure, je jouis sans me retenir et laisse sortir un léger râle de plaisir que j’étouffe aussitôt afin de ne pas me faire entendre.

— Quel bordel ! J’en ai partout.

Après m’être nettoyé soigneusement, je me glisse sous la couette, rongé par la honte.

— Mais qu’est-ce que je viens de faire ? Je suis vraiment pas net moi.

Je décide donc de mettre mon réveil et de dormir sans plus attendre. Avant de m’endormir, je crois entendre des bruits de pas qui s’éloignent de ma porte.

Je me retourne et me chuchote alors : « Arrête de te faire des films; et dors maintenant. »