1. Pour elle


    Datte: 08/10/2020, Catégories: fh, jeunes, amour, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, init, nostalgie, Auteur: André 59, Source: Revebebe

    ... j’étais bien puceau. Elle prit les choses en main, dans tous les sens du terme. Mon initiation aux mystères du sexe débutait enfin.
    
    Elle me demanda si je voulais qu’elle enlève ce qu’elle portait encore. Vous imaginez ma réponse. Maintenant elle était complètement nue. Elle s’étendit sur moi, fit glisser mon caleçon et commença à me caresser. Peu à peu, les frissons que je ressentais s’arrêtèrent. Sa toison pubienne frottait contre ma cuisse, ses seins caressaient ma poitrine, elle ne disait rien, je sentais juste les fragrances de son parfum. Sa tête au creux de mon épaule, elle fit descendre lentement sa main vers mon bas-ventre et entama des petits mouvements de poignet. Je m’étais souvent masturbé en pensant à elle mais là, ça n’avait rien à voir. Ce n’était pas une vulgaire branlette, la sensation de la paume de sa main était bien plus douce.
    
    Le résultat ne se fit pas attendre et avant d’avoir pu la prévenir, je me mis à jouir à grandes saccades. Quelques gouttes de sperme atteignirent même ses cheveux. Elle ne put s’empêcher de rire. Elle me dit que les filles qui n’avaient pas voulu de moi étaient des idiotes et que bientôt, c’est en elle que j’allais venir. Mots magiques. Elle me voulait dans son corps. Je la caressai avec adoration et il ne fallut pas longtemps pour que je manifeste une nouvelle érection. À ma grande confusion, elle commença par me prodiguer une fellation aussi douce qu’appliquée. Elle agaça d’abord mon gland avec le bout de sa langue puis, ...
    ... lentement, très lentement, avala ma verge, montant et descendant tout en douceur. Je savourai chaque seconde de cette caresse tout en souhaitant que cela ne s’arrête jamais mais elle s’interrompit et revint se pelotonner contre moi.
    
    Elle ouvrit alors ses cuisses, merveilleusement douces, et en guidant mon sexe vers sa fente, elle me demanda de venir et me fit entrer en elle. Paupières baissées, elle ondulait sous moi, en poussant de petits gémissements. C’était serré, moite, chaud, accueillant. Rien à voir, encore une fois, avec les descriptions tristes et gluantes des romans ou des films pornos. J’y étais enfin. Deuxième orgasme. En avait-elle eu un ? Je n’en étais pas sûr. Je n’osai pas lui demander. Mais au sourire qu’elle arborait, tout allait bien. Nous nous sommes endormis un moment, emboîtés l’un dans l’autre.
    
    En me réveillant au petit matin, j’arborai à nouveau une érection fort convenable. Désormais, au diable la timidité, j’entendais prendre l’initiative. Elle dormait encore (ou faisait semblant) mais je commençai un cunnilingus endiablé, titillant son clitoris avec ma langue. Un petit gémissement me montra qu’elle prenait du plaisir, incontestablement. Mes doigts en même temps s’enfonçaient dans son sexe. Puis je lui en enfilai un dans l’anus sans qu’elle proteste. J’en voulais plus encore. Je la retournai. Elle se mit à quatre pattes sur le lit, posa sa tête sur un oreiller.
    
    — Tu apprends vite, dit-elle en riant.
    
    Là-encore, elle me guida pour entrer en ...
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