1. Lingerie (1)


    Datte: 21/04/2018, Catégories: Hétéro Auteur: titeuf41, Source: Xstory

    Ça a commencé lentement.
    
    Il y a longtemps, très longtemps. Dans un 1er temps ce sont les effluves des culottes de ma sœur aînée qui m’attiraient. Elle avait déjà 35 ans et moi 15 de moins. Elle était chaudasse, moi un chien renifleur.
    
    Était-ce un don ? Je n’en sais fichtre rien. En revanche ce que je sais, c’est que dès qu’elle planquait une culotte après une aventure amoureuse, je sentais comme une senteur particulière qui m’attirait. Je suivais la piste de cette exhalaison jusqu’à ce que tombe sur ma proie. Alors je prenais ce morceau de tissu si précieux, je me cachais au fond d’une tanière, je le froissais dans le creux de ma main, le respirais, j’y déposais de tendres bisous amoureux puis pris par des pulsions incontrôlables je léchais ce vernis qui tapissait ce bijou sans en connaître la provenance et mon sexe d’enfant gonflait.
    
    Puis ça m’est passé. J’ai eu des copines plus ou moins proches. Comme tous les copains un jour je me suis marié et j’ai eu des enfants.
    
    Et puis, allez savoir pourquoi, un jour ce fumet qui m’avait tant bercé revient me chatouiller les narines. Je viens de prendre ma douche, je me rase et cette odeur familière que je pensais avoir oubliée est revenue. Je souris en me disant que c’est incroyable qu’après tant d’années, c’est toujours autant présent dans mon esprit. Quand même. Ça m’excite et éveille ma curiosité. J’ouvre le panier à linge, soulève 2 ou 3 vêtements, elle est là, présente, enivrante, arrogante et tellement tentante. ...
    ... Étalé sur un tanga de ma femme, une magnifique maculation encore humide de sperme. Un peu étonné, je sors tout d’abord la pièce de lingerie. Non, non, je réfléchis encore. Nous n’avons pas fait l’amour hier. Et cette fois je ne suis plus un gamin, nu assis sur le bord de la baignoire, mon sexe commence à se redresser. Ça me tente. C’est irrésistible. J’approche ce dessous si coquin vers mes lèvres. Je tends timidement ma langue, j’hésite, à quoi ça va me servir, mon sperme ou celui d’un autre, comment le reconnaître ?
    
    Cette fois ma langue touche la salissure visqueuse, pas suffisamment toutefois pour en percevoir un quelconque goût. Je reviens à la charge. Je suis un peu plus gourmand, je lape. Pas mal. J’en reprends une tournée. C’est bon cette liqueur. D’un côté c’est le bouquet salé du désir de ma femme, de l’autre un petit côté fade pas désagréable. Cette fois je bande à m’en faire mal. J’enfile le tanga et je me branle dedans jusqu’à ce que j’éjacule. De toute façon ma femme ne verra pas la différence. Je le conserve sur moi quelques dizaines de minutes, le lèche à nouveau puis je le replace où je l’ai trouvé.
    
    Le soir venu, je caresse ma femme en repensant à l’incident de ce matin. Ma femme est contrariée puis, après quelques caresses bien placées, elle est chaude comme la braise. Direct je place ma tête entre ses cuisses, je lui broute son minou si délicat. C’est dingue ça! J’ai la même perception d’odeur et de bouquet que lorsque j’ai léché son tanga. Va falloir que ...
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