1. La copine de ma sœur s'occupe de moi (1)


    Datte: 07/10/2020, Catégories: Hétéro Auteur: Paul456, Source: Xstory

    ... son idée : Sandrine. Une bonne copine élève infirmière comme elle. Elles s’étaient toujours parfaitement entendues. Sandrine était la première nue sur une plage ; elle bronzait indécemment en bonne vicieuse qu’elle était : « Il y a tous les mecs qui me matent les nichons et qui bandent », disait-elle. Je savais bien qu’Alix et elle, bien qu’aimant beaucoup les hommes, ne détestait pas partager de suaves moments avec des filles. Sandrine était ce qu’on peut qualifier de "fille facile " couchant avec n’importe quel garçon beau gosse et bien monté.
    
    Sandrine se présenta donc à notre domicile le lendemain matin:
    
    — Merci de ton aide, lui dit Alix.
    
    — T’inquiète, ça me fait plaisir...
    
    Sandrine se rendit dans ma chambre, je fus instantanément subjugué par la beauté de la jeune femme. Elle avait un visage régulier, des yeux entre marron et vert, comme s’il y avait des paillettes d’or. Son nez en trompette surmontait des lèvres sensuelles. Ses cheveux mi-longs entre châtain et roux tombaient en cascade sur ses épaules. De ce qu’il pouvait deviner de son corps sous ses habits, c’était une poitrine développée, une taille mince et un cul bien rebondi. Rien qu’à la voir ainsi il sentit son sexe se dresser. Je ne fis rien pour réprimer mon érection et Sandrine ne me laissa pas le temps de me reprendre. Elle ôta la couette qui me recouvrait. Elle ...
    ... regarda sans vergogne mon corps nu, et ses yeux s’arrêtèrent sur mon sexe bandé. Elle dit :
    
    — Eh bien, tu me parais bien tendu...
    
    — Bah, ouais, je ne peux pas me soulager.
    
    — Oui, avec tes deux bras immobilisés. Tu voudrais que je te détende ?
    
    — Tu le ferais ?
    
    — Il paraît qu’il n’y a personne qui veut se dévouer : tu n’as pas de petite copine, ta sœur ne veut pas en entendre parler, et je la comprends ; si j’avais un frère, je n’accepterais pas de le branler... Même s’il en avait une belle comme la tienne.
    
    Tout en parlant, Sandrine avait pris mon sexe en main et le caressait avant de le branler. Elle me prit ensuite en bouche, mais sachant que j’étais en manque et que je risquais de jouir vite, elle se plaça rapidement en Amazon sur mon torse en s’embrochant sur ma bite. Je sentais mon membre s’enfoncer dans son intimité alors qu’elle poussait un râle de plaisir elle continua par de lent vas et viens. Tenant plus, je me déchargeais alors sur son pubis. Sa langue vient alors le nettoyer ce qui me fit frissonner tant c’était bon. Elle me complimenta sur la largeur de mon chibre puis me fit ensuite ma toilette comme n’importe quelle infirmière l’aurait fait. Je n’osais rien dire, trop heureux de l’aubaine d’avoir trouvé en cette magnifique jeune femme une main ô combien secourable.
    
    — À demain, dit-elle en me quittant.
    
    A suivre... 
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