1. Les 1001 perversions de Nathalie (17) Tout bascule


    Datte: 07/10/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Egrewam, Source: Hds

    ... sinon tu pourras me prendre ici, sur la table, devant tout le monde…
    
    Ils sont à peine entrés dans la chambre, qu'il la plaque contre le mur avec son corps. Il plaque sa bouche contre la sienne, elle gémit, ondule, il la maintient de tout son poids contre la paroi. Il remonte sa main le long de sa cuisse, agrippe sa jambe et la presse contre sa hanche. Elle se frotte contre le tissu du pantalon, elle fait aller son bassin contre ses jambes, elle se masturbe sur sa cuisse.
    
    Il la retourne contre le mur, arrache sa robe, déchire sa culotte, elle l’entend défaire sa ceinture, son corps revient s’écraser contre le sien. Il empoigne ses mains, maintient les poignets prisonniers contre le mur au-dessus d'elle. Ses dents mordillent sa nuque sans ménagement. De sa main libre, il explore son entrejambe trempé, la retire, lui montre sa mouille luisante sur ses doigts, elle les suce.
    
    Il lèche sa nuque, sa bouche commence à descendre contre sa colonne vertébrale, du pied, il écarte ses jambes. Sa langue lèche ses fesses, lentement, puis sa bouche se colle sur la région humide, avale sa chatte presque en entier. Il s‘abreuve de son jus, l‘embrasse sauvagement, mord, lèche, fouille, elle crie, veut qu’il s'empale, la remplisse, fort...
    
    Il se relève, la porte comme une poupée de chiffon, la couche sur une table. Il se débarrasse de son pantalon. Elle agrippe la table, il s’enfonce dans un grognement dans son con. Elle sent sa pine la remplir complètement, se glisser contre ses ...
    ... parois, les forcer à s’ouvrir, elle contracte ses muscles pour la sentir encore plus, pour l’emprisonner en elle.
    
    À grands coups de bassin, il laboure son corps et elle en redemande. Ses mains empoignent ses seins, tire sur les tétons, elle crie son plaisir par des mots obscènes.
    
    Il la relève, lui empoigne les fesses, la queue toujours enfoncée dans sa chatte. Elle s’agrippe à sa nuque, elle fait aller son bassin contre sa queue toujours en elle. Elle lui arrache sa chemise, le griffe, empoigne ses omoplates. Il la retourne et la plie de nouveau contre la table. Ses seins, son visage sont plaqués contre la surface dure, son bassin se tend, elle en veut encore.
    
    Il écarte ses fesses. Elle sent sa langue sur son trou du cul, elle sent la langue s’y aventurer, en détailler les contours puis s’enfoncer...
    
    Et puis c‘est un doigt humide qui force l’entrée, elle sent s’ouvrir son cul. Et puis c‘est sa queue qui effleure la fente humide de son con, mais ne s’y enfonce pas, elle continue vers la rondelle dilatée par son doigt inquisiteur. La mouille qui recouvre le gland décalotté le fait glisser vers l’intérieur de l’anneau serré.
    
    Elle n'en peut plus, elle geint, quémande la bite, mendie le mâle :
    
    - Oh oui ! Là ! Fais-le moi… Mets-la moi dans le cul ! Fais-la moi sentir !
    
    Il attend quelques secondes puis empoigne son épaule et pousse.
    
    Ses couilles heurtent ses fesses offertes, il entame un va-et-vient et elle aide, pousse les hanches pour qu'il s’enfonce plus ...