Initiation amoureuse
Datte: 07/10/2020,
Catégories:
ffh,
hplusag,
amour,
fsoumise,
hdomine,
soubrette,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
fsodo,
init,
initfh,
Auteur: Ysan, Source: Revebebe
... vrai que notre grand peintre a beaucoup de talent et d’imagination. Je l’avoue, je prenais beaucoup de plaisir à ces séances de pose. Voilà, maintenant, c’est fini, je vais le regretter.
— Mais si mademoiselle Solange le veut bien, moi j’aimerais que mon maître fasse un tableau où l’on soit toutes les deux.
La réponse de ma petite comtesse m’a étonné :
— Fatima, votre idée est géniale : deux femmes, races et civilisations différentes mais unies dans un même esclavage. Ysan, acceptez, ce sera super !
À ma grande satisfaction il ne me restait plus qu’à me mettre au travail :
— Votre idée est excellente, je vous vois toutes les deux attachées au poteau qui est au milieu de l’atelier. Je peindrai autour de vous une foule d’hommes qui vous jaugent et vous palpent. On intitulera la toile« le Marché aux esclaves », ce sera le clou de l’exposition ! Allez déshabille-toi Fatima, prenez la pose et on commence !
Fatima, qui était nue sous sa blouse de travail, a vite été déshabillée. À ma grande surprise, j’ai vu alors Solange observer avec étonnement le pubis parfaitement épilé de ma sculpturale servante, puis enlever string et chaussures pour se retrouver dans la même nudité qu’elle. Main dans la main, elles se sont dirigées vers le fond de l’atelier. Ma petite comtesse calquait son allure sur celle de Fatima qui avançait lentement en ondulant de la croupe. Moi j’étais grisé par le spectacle que m’offraient ces deux jeunes femmes, chutes de reins superbes, culs ...
... magnifiques, marchant vers le poteau des suppliciées.
D’instinct elles ont pris la bonne pose : enlacées l’une contre l’autre, chacune d’une main dissimulant le sexe de l’autre, le visage apeuré et les yeux baissés des esclaves soumises. J’ai commencé à dessiner et à peindre dans une excitation fébrile. En une heure, l’ébauche de la toile était terminée ; je pouvais maintenant continuer à travailler seul.
Mes deux Vénus, enfin libérées de la pose, sont venues me rejoindre en courant, pressées d’admirer mon travail. Ces deux filles superbes près de moi, mon excitation était à son comble. Je bandais comme un taureau. Nu sous ma blouse d’artiste, ma bite pointait, ce qui n’a pas échappé à Fatima :
— Mon maître est trop excité, il ne va pas pouvoir continuer à travailler, il vous faut le soulager, mademoiselle Solange.
— Moi ? Mais je ne saurai pas ma petite Fatima. Je suis vierge. Hier Ysan m’a fait voir son sexe, je l’ai juste caressé, c’est tout ce que je sais faire.
— Alors je vais vous faire voir, ce n’est pas difficile de soulager un homme et c’est très bon.
Sans plus attendre Fatima s’est agenouillée devant moi. Elle a ouvert ma blouse et avalé ma queue jusqu’à la garde. Solange s’était rapprochée, ne voulant perdre aucun détail de la scène. Dans l’état où j’étais, il ne m’a pas fallu longtemps pour décharger. Comme à son habitude, Fatima a tout avalé avec délectation, léchant ma verge pour ne pas perdre les dernières gouttes. Solange était impressionnée :
— ...