1. La Tour de Vénus (10)


    Datte: 07/10/2020, Catégories: Hétéro Auteur: Thea, Source: Xstory

    ... avant et insère son index dans la fente douce et peu humide. Son doigt est comprimé, mais sa chaleur l’impressionne. Il a la sensation d’être aspiré. Surprise, sa collègue bascule en avant, s’agrippe à son bras. Le regard troublé, elle gémit, mais ne le repousse pas. Doogy exerce de doux va-et-vient, observe le filet de mouille qui s’écoule le long son doigt.
    
    — Mmm tu es sensible !
    
    Thea le regarde dans les yeux, très excitée. Son bassin ondule au rythme de ses caresses. Doogy insère un second doigt et accélère la cadence. La chatte émet des clapotis obscènes, déborde de mouille qui gouttelette sur le sol. Elle veut jouir au milieu de l’allée, devant leurs collègues. Malheureusement, Doogy retire ses doigts et les suces.
    
    — Mmm délicieuse! J’ai envie de te boire...
    
    Ensemble, ils ramassent rapidement les feuilles éparpillées sans les classer.
    
    — Oh non, tu n’as pas mis d’en-têtes ni de pagination à tes impressions, tu vas perdre un temps fou à les reclasser !
    
    — Tu m’apprendras à le faire quand j’aurai fini de te lécher. Viens, j’ai soif!
    
    Doogy se relève, une bosse déforme son pantalon. Il tire sa collègue par la main jusqu’à son bureau. Petite, elle court presque derrière lui.
    
    Doogy la porte sur le plateau et s’assoit sur son siège. Il plonge son visage entre les cuisses de sa collègue qui sursaute au contact de sa barbe de trois jours sur son coquillage. Sa bouche chaude enveloppe ses petites lèvres. Sa langue caressante ravage son clito et s’insère ...
    ... régulièrement et furtivement dans son volcan en éruption. Il la boit littéralement.
    
    Thea tremble nerveusement le corps irradié de décharges électriques. Maintenue entre les bras musclés de son collègue, elle subit ses assauts de plaisir. Elle couine en se mordant les lèvres pour ne pas crier. Sa jouissance est si grande qu’elle n’en finit plus. Ses orgasmes répétitifs sont si rapprochés qu’elle ne peut les compter. Doogy la tient sur le bout de sa langue. Le souffle court et la bouche desséchée, elle manque d’air.
    
    — Stop ! Prends-moi, j’en peux plus !
    
    Surpris, il lève la tête et croise le regard fiévreux de sa collègue.
    
    — Tu es la première qui me demande d’arrêter.
    
    Le sourire fier, il se relève, son pieu épais et long dans la main. Il présente son gland baveux à l’entrée du vagin, s’enfonce profondément dans sa caverne brûlante qui l’aspire et le comprime. Thea empoigne le col de la chemisette de son collègue et le mord brusquement dans le cou, le corps secoué de spasmes. Il sent sa chatte déborder de mouille et l’inonder.
    
    Doogy serre sa collègue contre sa poitrine, respire l’odeur gourmande de son parfum à la framboise. Il va et vient à un rythme régulier soutenu dans sa chatte soyeuse qui émet des clapotis obscènes ; des filets de mouille coulent le long de sa hampe. Ses soupirs proches du gémissement, au creux de son oreille, l’excitent. Il passe sa main dans ses cheveux et l’embrasse fougueusement. Sa main libre malaxe son sein gauche. Il sent le téton durcir ...