1. Amour de chien (1)


    Datte: 06/10/2020, Catégories: Zoophilie, Auteur: Puis d'amour, Source: Xstory

    ... les années passaient et nos ambitions n’étaient plus les mêmes, c’est à ce moment qu’une petite nouvelle est arrivée dans sa société et je ne vous fais pas de dessin sur la suite des événements...
    
    Un soir, alors que je me baladais sur un forum de discussions et d’histoires fortement distrayantes, je suis tombée sur un sujet bien particulier : la zoophilie. Le mot parlait de lui-même tout comme les mots qui décrivaient ces situations peu communes. Ces lignes me ramenaient à une soirée pendant mes premières années d’adolescence. À l’époque, nous avions un petit chien, un yorkshire pour être précise. Au fils des années, il avait pris l’habitude de dormir avec nous, passant du lit de mes parents au mien. Un soir d’été, alors qu’il faisait une chaleur accablante, je profitais de la fraîcheur des draps et de la fenêtre, ouverte les jambes légèrement relevées. Sans trop comprendre pourquoi ni comment, Marvel est tout à coup venu se frotter à ma jambe, son sexe buttait maladroitement le long de ma peau. Fortement choquée par une telle agréation, je l’ai d’abord repoussé. Et puis, poussée par ma curiosité, je l’ai laissé revenir. L’animal, agrippé à mon mollet, se cambrait davantage à chaque nouveau coup de reins sur ma jambe. Mais certainement frustré de ne trouver aucun conduit où éjecter sa semence, il redescendait, puis reniflait pour à nouveau pilonner ma jambe. Après quelques courtes ...
    ... minutes, sa queue reluisante était sortie de son fourreau et se glissa entre mes orteils et c’est à cet instant que je pus distinguer dans son regard et ses gestes le plaisir que je lui procurais. Malheureusement, au même moment, ma mère passa pour m’avertir de l’heure. "Chérie, c’est l’heure ! Tu coupes ta télé, s’il te plaît !" Il en était fini de cette petite expérience que je n’ai jamais réitérée.
    
    À ce souvenir, une sorte de crampe envahissait mon bas-ventre. Non ! Il était impossible que je sois excitée par ce type d’expérience. Pourtant, je sentais l’envie augmenter au plus profond de moi et je ne pouvais m’empêcher de poser mes yeux sur Achille. Lui était allongé le long de ma hanche, au-dessus des draps et il était bien loin de s’imaginer quelles idées abominables, je pouvais bien avoir en tête. Il est vrai que désormais, ce petit bout était un grand garçon. Quelques semaines après son arrivée, j’avais pris un rendez-vous chez le vétérinaire. Le médecin avait alors confirmé que le gaillard avait déjà atteint son poids et sa taille d’adulte. Il était en pleine fleur de l’âge et était prêt à saillir n’importe quelle chienne qui se présenterait à lui. Et à en voir les images que j’avais sous les yeux, qu’il devait être bon de se sentir saillir par… « Non Emma ! Arrête ça tout de suite ! C’est un chien ! Tu es complètement malade ma pauvre ! Trouve-toi un plan cul et on en parle plus ! ». 
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