Cocu et content
Datte: 20/04/2018,
Catégories:
fh,
extracon,
humilié(e),
fsodo,
Auteur: Marc, Source: Revebebe
Je vis avec Chantal depuis quelques années. Elle a la quarantaine, des cheveux châtain clair, des yeux verts, des fesses fermes, une opulente poitrine, en l’occurrence 95C et une toison peu fournie très claire avec de grosses lèvres et un vagin étroit, presque comme une jeune vierge.
Elle me surprenait parfois en ne portant rien sous sa robe ou sa jupe et sans m’en avoir fait la confidence auparavant, même lors de nos sorties en public, ce qui m’excitait lorsque je le découvrais. Un jour, elle se préparait alors que j’étais présent à ses côtés, prêt pour ma part à partir au boulot. Elle se trouvait devant moi et portait un fin collant brillant, une culotte en coton, un chemisier blanc et un soutien-gorge de la même couleur. Elle enfila une jupe courte bleu marine, suivie de chaussures noires à talons mettant ses jambes en valeur. Et alors qu’elle commençait à farder ses lèvres et ses yeux de maquillage, je lui demandai ce qu’elle comptait faire dans cette adorable tenue. Elle me répondit prestement qu’elle avait envie de faire les boutiques en ville et me demanda de la déposer en voiture. Je le fis volontiers et partis ensuite à mon travail. Habituellement, Chantal ne sortait pas comme cela d’un coup de tête pour faire les boutiques, encore plus dans une tenue soignée.
En rentrant le soir, je la retrouvai, le chemisier sorti de la jupe, lui demandai si sa tournée des magasins s’était bien passée et elle me répondit qu’elle avait passé une bonne après-midi. Le soir, ...
... une fois sur l’oreiller, elle finit par me dire qu’en fait elle était allée à un rendez-vous avec un homme avec qui elle avait dialogué sur le Net et me raconta tout de cette rencontre :
— En fait quand tu m’as déposée, je suis allée directement dans un café où un homme avec qui je dialogue sur le Net désirait me rencontrer. Pour ma part, je m’étais vêtue de façon à savoir si je plaisais. Il me complimenta sur mon physique et cela ne me laissa pas indifférente, au point que malgré moi, je sentis ma culotte se mouiller tout d’un coup. C’est une fois dans sa voiture, alors qu’il allait me ramener qu’il a pu apprécier vraiment la vue de mes cuisses, car j’ai volontairement retroussé un peu ma jupe sur celles-ci. Sa main s’est posée sur ma cuisse, me caressant par dessus le collant et j’ai beaucoup apprécié. Je voyais bien une belle bosse se former dans son pantalon. Une fois arrivés devant notre immeuble, il est descendu pour m’ouvrir la porte et là il a pu voir à loisir ma culotte sous mon collant. Je l’entendis me dire qu’il avait envie de moi. J’avais aussi envie à cet instant qu’il me prenne, mais j’appréhendais que tu ne reviennes plus, tôt alors qu’il se trouvait encore chez nous.
Nous étions dans le lit, nus tous les deux et alors je caressais ses grosses lèvres bien mouillées et glissais un doigt dans le fourreau de sa chatte :
— Ma chérie, tu es trempée, bien plus excitée que à l’accoutumée. C’est cette rencontre « coquine » qui te fait tant mouiller ?
— Et toi ...