1. La vieille fille


    Datte: 04/10/2020, Catégories: Première fois Auteur: byJipai, Source: Literotica

    ... humiliants. Je suis près des larmes, je retiens mes sanglots pendant que cette main me caresse. J'oublie, j'essaie d'oublier ce contact, je me force à l'indifférence, je me rassure en me disant que ce sera juste une fois et puis après....
    
    J'ai soigneusement choisi ma période, je sais que je suis féconde depuis hier soir, un léger changement de température et puis...Enfin, le vagin lubrifié.
    
    Curieusement, ce mot de refus, ainsi que le corps froid qui se crispe sous mes attouchements provoque en moi un plaisir trouble... Je fais durer ce plaisir, avec une sorte de sadisme, caressant les fesses menues longuement, ma caresse se faisant graduellement plus forte, plus possessive, les doigts sculptant en quelque sorte cette chair froide; à chaque graduation de mon emprise, j'entends comme une sorte de sanglot, une crispation de votre corps, une sorte de lamentation qui s'échappe de vos lèvres... c'est un plaisir étrange de jouer ainsi avec vous, votre corps, vos réactions... englobant bien vos petites fesses, mes mains attirent votre bassin vers moi; nous sommes allongés sur le côté, et dans le même geste, je me suis approché de vous, sentant un bref instant le contact de votre poitrine, que je devine petite, mais bien galbée sous les draps... mon visage cherche le vôtre, je sens le contact des cheveux, votre souffle, ainsi que l'humidité des larmes... j'entends également de très prés les petites plaintes que vous poussez alors que ma bouche cherche la votre...
    
    Je sens que ...
    ... vous vous enhardissez, votre main se fait plus pressante, plus curieuse de mes formes. Je mords mes lèvres, je gémis mais ces gémissements ne sont pas de plaisir, je sens prise dans un piège dont je ne peux plus sortir. "Il va falloir que tu y passes" cette phrase, et ce qu'elle signifie, que j'ai entendue plusieurs fois, qui sent la défaite de la femme, je l'ai toujours repoussé avec morgue. Elle me revient à l'esprit et s'incruste dans mon crâne bouillonnant de sentiments si contradictoires. Je décide d'oublier tout mes principes, tant pis, "je me laisse faire" me dis je en rassemblant ce que j'ai de courage. La main qui frôle mon sein, encore un sursaut, une crispation, un frisson qui me parcourt l'échine. Dire qu'il va falloir subir les attouchements de cet inconnu. Heureusement qu'il ne m'est si antipathique, j'ai bien fait de demander sa photo avant d'envisager une rencontre. Courage, ce n'est qu'un moment à passer, après il faudra encore attendre et puis ce sera la délivrance, je pourrai montrer fièrement au monde entier que je suis bien une femme au sens le plus profond, capable d'enfanter et de brandir sa progéniture à la face de la famille et de ce vieil oncle si exigent et qui tient tant à la lignée. Cette main, encore timide, mais je sais que bientôt elle ne le sera plus, oh! Quel calvaire, et puis un inconnu dans mon lit, cela est bizarre, j'ai tellement l'habitude de dormir seule, je ne suis plus chez moi, quelqu'un viole mon intimité. Cet inconnu à la main si ...
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