Frederica ou la fessée sentimentale - Histoires de Sexe

Frederica ou la fessée sentimentale

... frigo.
— Ne vous inquiétez pas, il en reste largement trois verres.

Fabienne remplit les trois verres, nous les apporte et trinque en disant :

— À nos amours.
— C’est ce que Philippe et moi allons bientôt mettre en pratique, dit Frederica, avec un sourire en coin.
— Dans ce cas, à votre plaisir à tous deux, répond Fabienne.

Fabienne vide son verre à la vitesse d’une vieille pocharde et retourne vers la table où elle s’en reverse un nouveau.

— Un dernier verre à votre santé, mes jeunes tourtereaux.

Le regard de Fabienne est maintenant nettement moins jaloux, il est triste.

Frederica passe son bras sous mon cou, se met sur le côté, me regarde en souriant puis me fait une grosse bise sur la joue :

— J’aime vos vingt-cinq ans, votre fraîcheur et votre côté impressionnable. Les femmes scandinaves qui ont un peu d’expérience disent que faire l’amour avec un jeune garçon, c’est comme une friandise, cela ne se refuse pas. J’espère que vous allez mettre autant de passion à me faire l’amour que vous en avez mis à me donner votre brûlante fessée.
— Faites l’amour, mes jeunes tourtereaux, je vais attendre tranquillement mon tour.

Fabienne n’est pas réellement dans son assiette, il va falloir s’occuper d’elle tout de suite après…

Le corps de Frederica est contre moi, il est brûlant. J’ai envie qu’elle prenne des initiatives :

— Je suis à vous, Frederica, j’attends votre leçon d’amour.
— Mettez-vous sur le dos, je vais vous la donner.

Frederica se ...

... redresse, puis s’étire. Elle s’installe à genoux au-dessus de moi, elle écarte son sexe avec ses doigts, prend mon sexe dans sa main et le fait pénétrer dans son ventre. Je ressens une sensation de chaleur, de douceur et de calme. Le bas du ventre de Frederica aspire mon sexe, l’emprisonne puis le relâche. Je n’ai jamais ressenti une telle sensation, peut-être parce que je n’ai jamais été aussi excité. Tout le corps de cette femme est là pour me donner du plaisir. Je pars dans un rêve. Faire l’amour avec une femme que l’on désire tant est presque irréel. De mes mains je caresse ses fesses, elles sont brûlantes. Je caresse ses seins, ils sont durs et sensibles. J’en suis presque à regretter d’avoir donné de la douleur à cette femme qui ne me donne que du plaisir, mais c’est tellement agréable de fesser une femme comme elle :

— Frederica, j’adore, vous êtes très voluptueuse quand vous faites l’amour. J’ai presque des regrets de vous avoir fessée aussi fort.
— Ne regrettez rien. Recevoir une fessée quand on est caressé donne un plaisir très intense. La chaleur de la fessée se transforme immédiatement en bien-être dans le bas du ventre. C’est seulement après qu’on a l’impression d’avoir un peu chaud.
— Vous êtes gentille de me dire ça.

Tout à coup, je ne sais pourquoi, je pense au mari de Frederica.

— Et si votre mari découvre que vos fesses sont toutes rouges ?
— Ne vous inquiétez pas, cela fait des années qu’il ne me voit même plus. Il ne sait même pas que j’ai des ...