1. L'INITIATION D'ELODIE


    Datte: 03/10/2020, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Masturbation Auteur: Jeannot94, Source: xHamster

    ... autoritaire qu’il me reprend.
    
    « OUVRE TOI ! Ecarte tes jambes doucement ! »
    
    « Oui maître »
    
    Je préfère m’exécuter que de subir une punition. De plus, si je suis là, c’est que je lui fais confiance, alors… Alors, je le fais. Mes genoux se décollent, et tandis que ma jambe gauche s’écrase contre la sienne, ma jambe droite ouvre le passage à sa main, mais aussi à la vue, car cette manœuvre fait remonter mon manteau, et dévoile mes bas, mes jambes, mon sexe. Son index glisse le long de ma fente, suivi de l’annulaire. Un homme passe, et s’arrête pour mater, et vas s’asseoir sur un banc plus loin, sort sa queue et commence à se masturber en me regardant. Je sais que plusieurs regards sont sur moi, et je crois bien que ça m’excite. Un pouce adroit frotte mon clito pendant que les deux doigts ouvrent et plongent dans mes chairs. Ma bouche s’ouvre pour laisser échapper un doux son de contentement. Je pousse un ouiiii de plaisir. Je me surprends à dire :
    
    « hoooo !! Mon maître, enfin, vous me fouillez. »
    
    Cette phrase m’excite et me fait mouiller d’avantage. Mon maître en profite pour me glisser un troisième doigt.
    
    « T’aime ça salope ?! Dit le que t’aime ça ! »
    
    Le mouvement est devenu frénétique, et mon plaisir monte à une vitesse folle .Je ne peux que répondre :
    
    « Oui maître, j’aime ça, je suis une salope ! J’aime ça maître »
    
    Je pousse un petit cri et je jouis comme une folle, le corps parcouru de spasmes. C’est après deux minutes de plaisir intense que mon ...
    ... maître retire ses doigts, trempés de mon plaisir. Il les porte à mes lèvres. Je les lèche tous, un par un, avec avidité et application. Durant se nettoyage en règle, je m’aperçois que je suis toujours cambrée, et que je n’ai pas refermé mes jambes. Un détail à coté du plaisir énorme que vient de me donner mon merveilleux maître.
    
    Je reprends ma respiration, doucement. Je n’ai plus peur, je suis détendue, j’ai envie de faire plaisir à mon maître. Je glisse ma main sur son pantalon, en direction d’un énorme renflement sous sa ceinture.
    
    « Qu’est ce que tu fait ? Je ne t’ai pas autorisée ! Lève toi, on va marcher ! »
    
    Nous prenons le chemin qui longe le lac, et il me prend par la taille. C’est agréable, je me sens bien, protégée. Intimidée tout de même je laisse mes mains dans mes poches. Les loups sortent du bois. Mon dieu, il en sort de partout. Je ne les avais pas tous vue apparemment.
    
    Nous marchons depuis un bon moment. Nous avons beaucoup parlé, nous avons même ris je crois. Souvent il s’arrête pour me donner de délicieux baisés. J’ai fini par poser ma tête sur son épaule. Arrivé au bout du lac, là où le chemin tourne, il lâche ma taille, recule d’un pas. Il me regarde, semblant réfléchir. Je me sens tout à coup ridicule, plantée là comme une potiche, devant cet homme. J’entends des bruits, des branches qui cassent sous des pas prudents. Nous ne sommes pas seul, les hommes nous ont suivis, c’est évident.
    
    « Ouvre ton manteau ! »
    
    Une nouvelle vague de honte monte ...
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