1. Barcelona


    Datte: 03/10/2020, Catégories: fh, fhh, inconnu, boitenuit, fsoumise, hdomine, humilié(e), strip, Oral préservati, Partouze / Groupe fsodo, donjon, BDSM / Fétichisme bougie, fouetfesse, piquepince, init, prudes, fsoumisah, Auteur: Fantasio, Source: Revebebe

    ... madrilène en soumise docile et ouverte à toutes les perversions.
    
    — Au moins toi, tu as pu en discuter avec lui auparavant.
    — On ne discute pas vraiment avec Alfredo de Villazabal, tu sais. Et puis toi au moins, tu l’as fait pour toi, pour te prouver que tu en étais capable. Pas seulement pour le bon plaisir de ton mari.
    — Tu as peut-être raison, mais je dois t’avouer que j’ai encore du mal à comprendre comme je peux accepter que Ramon fasse de moi sa chose, sa perrita comme vous dites.
    — Moi au moins je n’ai pas ce genre d’état d’âme. Si je suis ici c’est parce que Alfredo l’a voulu, voilà tout.
    — Et… ça te plait ? Depuis quand es-tu sous la coupe de Julia ?
    — Cela fera trois jours demain. Et pour ce qui est de me plaire, je dois avouer que si j’ai encore du mal à accepter d’être traitée comme une chienne, j’en ai plus appris sur le sexe au cours de ces soixante-douze heures qu’au cours des vingt-cinq dernières années.
    
    Elles se sont mises à rire comme deux vieilles copines tout en continuant à chercher parmi les dizaines de costumes de strip-teaseuses celui qu’elles allaient porter pour leur premier défi.
    
    Rosa a été la première à passer. Elle avait choisi une tenue rock’n roll composée d’une paire de bottes, d’une petite jupe et d’un blouson en jean, portés sur des sous-vêtements noirs en dentelle. Sophie a dû reconnaître que la jeune femme, un peu plus jeune et plus menue qu’elle, était terriblement sexy dans son accoutrement de rockeuse. L’idée qu’elle ...
    ... puisse trouver une femme sexy et même attirante était nouvelle pour elle et elle a senti sa petite chatte frémir lorsque Rosa a disparu sur la scène aux premières notes du « Fever » de Peggy Lee.
    
    Dans les coulisses, Sophie ne pouvait rien voir du spectacle que Rosa était en train d’offrir aux clients du Tia Maria. Elle n’entendait que leurs cris admiratifs et enthousiastes accompagnant l’effeuillage de la jeune femme. La perspective de devoir prendre sa place quelques minutes plus tard lui a soudain paru insupportable. Elle s’est mise à trembler, sentant des frissons glacés parcourir ses chairs brûlantes. Elle se trouvait ridicule dans son accoutrement de collégienne avec ses socquettes, sa petite jupe plissée à carreau, son chemisier blanc entrouverts sur ses appétissants melons et ses couettes de jeune fille. Et le porter n’était rien comparé à la perspective de l’enlever devant ces hommes et ses femmes et de se retrouver entièrement nue devant eux.
    
    Alors qu’elle avait décidé d’en finir avec tout cette histoire, d’envoyer Ramon, Éric et tous les autres se faire voir avec leurs fantasmes machistes, Ramon est venu la rejoindre en coulisse, comme s’il avait senti le trouble et le doute envahir une nouvelle fois l’esprit de sa petite chienne.
    
    — Que tal perrita ? Rosa ne se débrouille pas mal mais ce n’est qu’une gamine. Je suis sûr que tu n’en feras qu’une bouchée. Tu sais, tout le monde là-bas n’attend que la « perrita de Paris »…
    
    Il l’avait serrée dans ses bras, son ...
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