1. Un enchaînement de circonstances


    Datte: 03/10/2020, Catégories: fh, fdomine, facial, Oral hdanus, sm, hsoumisaf, Masturbation Auteur: Marie Anne & Luc Carois, Source: Revebebe

    ... vient d’entrer en tenant un vieux au bout d’une laisse. Les deux intrus écarquillent les yeux également. On reste quelques secondes à se regarder ainsi quand le trav’ prend la parole d’un air dépité :
    
    — Ben qu’est-ce que vous faites là, vous ?
    — Je suis là où l’on m’a mis, messieurs… dames.
    — Ben c’est pourtant bien la chambre 3. Je l’ai réservée hier…
    — Va savoir…
    — Ah ben non, faut que vous sortiez de là…
    — Avec plaisir, que je réponds. Si vous voulez bien vous donner la peine d’ouvrir les menottes.
    — Ah ben ouais… Faut pas que vous restiez ici…
    
    Je commence à pousser unouf de soulagement quand je vois le black se pointer.
    
    — Qu’est-ce qui se passe Roger ? qu’il demande à la créature en cuir.
    — Ben je viens pour ma séance, et je trouveça…
    — Ah oui… Tu laisses tomber, Roger. C’est moi qui ai donné la chambre à Lucie.
    — Ah ben non… J’ai réservé, moi…
    — Tu prends la 7.
    — Euh… Si la chambre est réservée, je crois que…
    — Toi, tu ne la ramènes pas, me prévient le black en pointant sur moi un doigt énorme comme le canon d’un 347. Et toi Roger, tu prends la 7 et tu fais pas chier.
    — Bon, ben d’accord Famara… C’est toi le taulier après tout.
    
    Tandis que Laurel et Hardy sortent, emportant avec eux mes derniers espoirs de délivrance sans contorsions pénibles, j’interpelle le « taulier » en question.
    
    — Euh, Famara ?
    — Oui ?
    — Elle est partie où Sall… Lucie ?
    — Ça te regarde pas. Tu attends qu’elle revienne, c’est tout.
    — Écoute… Je ne voudrais pas être ...
    ... désagréable, mais ça fait plus d’une demi-heure qu’elle est partie. Alors…
    — Alors écoute, toi aussi… Lucie, c’est une reine. Elle fait ce qu’elle veut, comme elle veut, et personne ne lui demande rien. Même pas moi…
    — Mais… Tu es le boss, si j’ai bien compris.
    — Ouais, si on veut… Mais même moi, je ne sais pas lui tenir tête. Lorsqu’elle veut vraiment un truc, elle l’obtient toujours.
    — Ah… Et qu’est-ce qu’elle veut, selon toi…
    — Ben je sais pas ce que tu lui as fait, man, mais j’ai bien l’impression que tu vas être gâté.
    — Qu’est-ce que tu entends par là… man ?
    — Que tu vas prendre cher… dit-il en éclatant de rire. Wha ah ah ah… Ah ouais, mec… tu vas prendre… Ah ah ah…
    
    Et il se tire en fermant la porte à nouveau.
    
    Là, je commence vraiment à flipper. Je me décide à agir. Je lance mes jambes derrière ma tête, et commence à farfouiller dans mes poches. L’opération s’avère un peu plus difficile que prévue, mais je finis tout de même par choper un trombone qui traînait miraculeusement dans la poche gauche de mon blouson.
    
    Je commence à le déformer et entreprends de crocheter la serrure de mes bracelets. Au bout de trois minutes, je réussis à ouvrir le premier. Je suis en train de m’attaquer au second quand la porte s’ouvre à nouveau, et une vive lumière inonde la pièce… J’avale difficilement ma salive. Sally vient de réapparaître… Mon Dieu qu’elle est belle ! Et putain, elle a l’air fumasse…
    
    *
    
    À peine suis-je entrée que mon regard se braque sur le poignet libéré ...
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