1. Jef fait du stop (1)


    Datte: 03/10/2020, Catégories: Erotique, Auteur: Thalderhoff, Source: Xstory

    ... conduire !
    
    La main recula, s’échappa de la culotte en faisant claquer l’élastique, mais ne renonça pas à conquérir d’autres places fortes.
    
    Certes, la ceinture de sécurité était un obstacle, mais cela ne l’empêcha pas de déboutonner un avant-dernier bouton puis enfin le tout dernier, libérant ainsi le corps de la jeune femme de son enveloppe tel un fruit dont on vient d’ôter l’écorce. Et cette fois il avait fait tout cela sans en demander l’autorisation, poussé par le désir !
    
    Alice cherchait des yeux le sentier forestier, sur la gauche qu’elle connaissait si bien. C’était un de ces endroits discrets où elle avait déjà amené presque toutes ses conquêtes pour y batifoler sans risque d’être dérangée.
    
    Elle ralentit, mis son clignotant et s’avança dans le chemin, entre les arbres.
    
    Jef avait repris ses caresses en élargissant son aire de jeu. Il n’hésitait pas à peloter ses seins à travers le soutien-gorge assorti à la culotte, tout aussi transparent, tout aussi excitant, révélant sans les montrer les tétons bruns au mieux des mamelons blancs. À la vitesse où ils roulaient maintenant, ils ne risquaient plus l’accident !
    
    Pour Alice, il était temps qu’ils arrivent. Jef commençait à lui faire de l’effet et sa conduite devenait imprécise pour ne pas dire hasardeuse !
    
    Le sentier menait à une clairière et à une maison forestière.
    
    La jeune femme approcha la voiture jusqu’au pied du perron comme si elle arrivait chez elle.
    
    Jef, étonné lui demanda :
    
    — Il ...
    ... n’y a personne ? Tu connais ce coin ? Tu y es déjà venue ?
    
    La réponse ne manqua pas de le surprendre.
    
    — Vois-tu, quand j’étais petite fille, je jouais dans ce pré, je grimpais dans cet arbre, j’étalais toutes mes poupées sur ces marches et c’est même là que j’ai embrassé mon premier petit copain. Il devait avoir huit ans et moi sept !
    
    Elle tendit le bras vers la boîte à gants, l’ouvrit, farfouilla un moment et en ressortit une grande clé en fer de vingt centimètres de long.
    
    — Viens !
    
    Jef, incrédule, défit sa ceinture, ouvrir la portière et rejoignit Alice qui venait d’ouvrir la porte.
    
    — Entre et monte l’escalier sur ta gauche ! J’arrive ! Je vais brancher l’électricité.
    
    Soudain, la lumière jaillie révélant les lieux jusqu’à là restés dans le noir.
    
    Une grande pièce vide occupait la quasi-totalité du rez-de-chaussée. Un escalier de bois sculpté permettait d’accéder à l’étage.
    
    Jef s’était immobilisé au milieu de la volée de marche et regardait Alice venir vers lui. Sa robe ouverte sur sa lingerie fine découvrait ses jambes, son ventre laissait rebondir ses seins à chaque pas, mais elle n’y prêtait aucune attention. Elle souriait.
    
    — Tu m’attendais ? Tu as peur dans le noir ?
    
    — Non ! Je te regarde.
    
    — Et alors ?
    
    — Alors, tu es tellement belle !
    
    — Tu as l’intention de rester là ?
    
    Elle l’avait doublé et grimpait tout en parlant.
    
    Jef la rattrapa en quelques bonds et lui saisit la taille.
    
    D’un geste vif, Alice lui glissa des mains en ...
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