1. Le fantôme du Phoebus


    Datte: 03/10/2020, Catégories: Partouze / Groupe Anal Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Svetlana1980, Source: xHamster

    ... dérive et me rapporte ses calculs : nous pourrons corriger la direction à prendre dès que le vent tombera.
    
    L’expérience du trio est très amusante. Nous ne manquons pas une occasion de taquiner Edward, John et moi. De petits gestes dissimulés pour provoquer sa jalousie, des regards échangés… Je vois que la situation excite Edward au moins autant que nous. Ses traits tirés sont preuve de son sommeil troublé ; je pense que le temps qu’il passe dans sa cabine n’est pas exclusivement réservé au sommeil…
    
    21 mai 1781
    
    Je suis passée tout à l’heure ostensiblement devant Edward, qui passait en revue les travaux du charpentier. Je lui ai lancé un regard appuyé, et me suis dirigée lentement vers la cabine médicale. Je suis entrée : John m’y attendait. Il m’a attirée contre lui et dans le même geste a glissé une main sur mes fesses, à l’intérieur de mon pantalon, et j’ai senti son doigts fouiller pour trouver l’entrée de mon derrière. Sans doute s’était-il enduit les mains d’un onguent quelconque, car l’insertion fut facile, sans douleur. Nous sursautâmes quand la porte s’ouvrit, mais c’était Edward, qui, comme je m’y attendais, avait bien compris mon signe. Un éclair traversa ses yeux. « Je veux te voir baiser ma femme, là, devant moi ! » dit-il à John. Sans retirer son doigt, ce dernier me coucha sur le lit d’infirmerie, baissa mon pantalon et me pénétra doucement, lentement, tout en m’ordonnant de ne pas détacher mes yeux d’Edward. Celui-ci ne perdait pas une miette du ...
    ... spectacle, et se caressait à travers ses vêtements. Je constatai que ce qu’il voyait lui plaisait… John ouvrit ma chemise et en fit sortir mes seins, qu’il se mit à malaxer avec des gestes lents mais fermes. Edward se rapprocha et fit sortir son sexe, qu’il plaça au-dessus de moi. Il accéléra ses gestes et aspergea ma poitrine de son sperme. John n’y tenait plus : il donna des coups de reins plus fort, et me fit jouir rapidement, puis me remplit de son liquide.
    
    Alors que nous nous remettions de nos émotions, on frappa à la porte : un marin venait chercher le chirurgien ! D’un bond Edward et moi nous précipitâmes dans l’armoire aux médicaments, simple alcôve protégée par un rideau. John déverrouilla la porte pour accueillir le matelot, qui se plaignait de maux de tête. Je sentais la respiration d’Edward tout contre moi, et soudain il vint glisser sa main dans ma chatte toute humide, et me susurra : « tu es bien remplie, salope… ». Je sentais son propre sperme couler sur mes seins, et celui de John entre mes jambes. Quand le matelot fût parti, nous nous coulâmes dans nos quartiers. Pour ma part, j’ai pris un peu de repos dans ma cabine.
    
    22 mai 1781
    
    Le temps est clair aujourd’hui, mais une tension règne toujours parmi les hommes. Encore cette histoire de fantôme… Je demande à Edward pourquoi la fouille n’a pas été menée comme je l’avais commandé ; celui-ci me répond, avec un clin d’œil, qu’il a été fort occupé ces derniers temps. Peu importe, je lui demande de la faire ...