1. Une nuit calme


    Datte: 02/10/2020, Catégories: fh, Collègues / Travail voiture, Oral pénétratio, attache, québec, amourcach, Auteur: Markten, Source: Revebebe

    ... t’avoir sous mon contrôle sans que tu puisses te défendre.
    
    Elle commence ses caresses, je ne peux que subir, mon cerveau détecte chaque contact sur ma peau. J’ai l’impression d’avoir affaire à une pieuvre, je sens à la fois chacune de ses mains, sa bouche, sa langue, chaque pointe de ses seins qui se frottent sur moi, ses cheveux qui glissent partout, ainsi que ses grandes lèvres qui enserrent ma queue au passage, jamais je n’ai eu une telle érection.
    
    Malgré moi, j’échappe des sons, des gémissements, c’est une vraie torture des sens. Je lui crie qu’elle me rend fou, elle redouble d’ardeur. Maintenant je grogne, je rugis, je souffle fort, ma tête frappe sur le coffre. Soudain elle se relève s’empale sur ma queue et ne bouge plus. Le changement est si brusque que ma respiration s’est bloquée durant plusieurs secondes.
    
    Lola me regarde à travers les mèches de cheveux qui cachent une bonne partie de son visage, elle a un sourire carnassier. Cela m’inquiète, que va-t-elle faire encore ? Je n’ai jamais ressenti autant de sensations en même temps, mon cerveau a disjoncté, je suis surpris de ne pas avoir joui. Je suis convaincu qu’elle a volontairement stoppé ma jouissance.
    
    Lola commence à bouger son bassin, ses deux mains sont appuyées sur mon torse. Elle reste collée sur mon pubis, bougeant dans tous les sens, une véritable danse du ventre. Je fais des efforts afin de participer mais n’ayant aucun appui, c’est peine perdue. Elle se penche sur moi et vient me susurrer ...
    ... à l’oreille :
    
    — Tu vas jouir seulement lorsque je le voudrai bien.
    
    Elle me donne un coup de langue dans l’oreille, cette caresse m’a toujours fait frissonner très fort. Constatant ce point faible, Lola m’agrippe la tête à deux mains et me lèche cette oreille. Je frisonne tellement que tout mon corps tremble. Elle me torture encore quelques moments puis elle se relève et met pied à terre.
    
    Je suis déçu, croyant qu’elle me ferait jouir en elle. Elle ne peut pas me laisser comme ça, j’ai droit à ma jouissance. Un doute me prend, va-t-elle m’abandonner là, quel supplice vais-je subir ? Je la guette, surveille chacun de ses gestes.
    
    Doucement, elle saisit mes couilles, les soupèse, les tire, les fait rouler sur ses doigts. Elle pose sa tête sur le haut de ma cuisse et saisit ma tige du bout des doigts. Le visage à moins de dix centimètres, elle observe ce bâton de chair en le caressant. Ses doigts passent sur le bout, suivent le contour du gland, descendent jusqu’à la base. Elle me saisit à pleine main et me masturbe franchement.
    
    Elle me prend en bouche mais ne cesse pas la masturbation. Je sais que la libération est proche. Mains en appui sur mes cuisses, elle n’utilise que sa bouche, elle va de plus en plus vite, ses cheveux volent de tous côtés. Je veux jouir, je vais jouir, pas question de l’aviser puisqu’elle m’impose le silence. La tête relevée je la regarde, la sève monte, je grogne, j’explose dans sa bouche. Elle ne bouge plus, se contente de recevoir mon ...
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