1. Ma très chère belle-maman


    Datte: 20/04/2018, Catégories: fh, fplusag, extracon, amour, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, Oral pénétratio, confession, bellemere, Auteur: Alexander, Source: Revebebe

    ... manches.
    
    — Ouah ! Le soutif, mais ils ont l’air de m’attendre avec impatience, lui dis-je.
    
    Je passai les mains derrière son dos afin d’atteindre l’agrafe du soutien-gorge. Après m’être débattu avec le mécanisme de fermeture, le rempart de tissu glissa. Je la contemplai une dernière fois de face avec ce rempart de dentelle, puis lui enlevai. Deux magnifiques seins m’apparurent, les pointes érigés et offertes. Je ne pus résister plus longtemps et mes lèvres vinrent à leur rencontre. Que c’est bon ! Depuis le temps que je fantasmais sur eux, enfin ils sont là, à moi, et je compte bien en profiter.
    
    Pendant que je passais d’un sein à l’autre, léchant et suçant les pointes, contournant les aréoles, Thérèse avait agrippé mon membre et le masturbait avec frénésie.
    
    — Arrête, arrête, tu vas me faire jouir, lui répliquai-je.
    — Déjà ! me dit-elle interloquée…
    — C’est trop pour moi ! Tu sais Thérèse, je ne suis qu’un homme ordinaire qui vient de subir une intense émotion et avec le traitement que tu me fais subir, je ne vais pas pouvoir résister longtemps.
    
    Elle s’agenouilla à nouveau en me fixant droit dans les yeux, mon sexe dressé et maintenu par sa main droite :
    
    — Je veux que tu jouisses dans ma bouche, j’ai très envie de te goûter, tu n’y vois pas d’objection ?
    — Quelle question.
    
    Mais j’ai l’impression de rêver. Ma belle-mère, Thérèse, me demande de jouir dans sa bouche… Je n’y crois pas…
    
    Sa succion reprit de plus belle, absorbant mon pieu jusqu’à la ...
    ... glotte, gonflant ses joues à s’en étouffer. Sa main s’agitait en même temps le long de la tige et l’addition de ces deux actions me firent perdre tout contrôle. J’ai senti la sève monter brutalement et ne pus la prévenir à temps. Elle devait être un peu déboussolée ou fut surprise par la puissance de mon éjaculation car mes premières giclées s’échappèrent de ses lèvres avant qu’elle ne les referme hermétiquement autour de mon gland. Elle se mit à me téter avec frénésie, espérant par cette action récupérer la moindre goutte. J’avais les jambes en coton, car toutes ces émotions m’avaient, sans être vulgaire, complètement vidé.
    
    Elle me regarda à nouveau, droit dans les yeux et ne put s’empêcher de me dire :
    
    — Dis donc, tu en avais une sacrée quantité, c’est toujours comme ça ?
    — Oui, à chaque fois que je me masturbe et pense à toi, c’est comme ça !
    — Eh bien, elle en a de la chance ma fille, enfin je veux dire, ta femme…
    — De la chance ? Ça n’arrive pas souvent car elle est souvent fatiguée et n’a pas l’air de me désirer beaucoup.
    — Tu ne fais peut-être pas suffisamment d’efforts pour l’attirer vers toi, lui redonner ce désir qui semble l’avoir quitté.
    — Je ne sais pas mais franchement, je n’ai pas envie d’en parler maintenant.
    — Je ne veux pas rompre ce grand moment que je vis avec toi… Qu’en penses-tu ?
    — OK, on n’en parle plus…
    
    D’un geste lent, elle récupéra le sperme qui s’écoulait le long de sa joue et son cou et glissa ses doigts entre ses lèvres. J’avais ...
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