Ma très chère belle-maman
Datte: 20/04/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
extracon,
amour,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
intermast,
Oral
pénétratio,
confession,
bellemere,
Auteur: Alexander, Source: Revebebe
... peut trouver d’attirant chez une vieille mamie ?
— Ne dit pas ça, lui murmurai-je à l’oreille en lui picorant le cou de légers baisers… Tu sais, il y a beaucoup de femmes qui aimeraient avoir le même corps que le tien à ton âge ! Et puis, tu es une mamie attirante.
— Ne dis pas de bêtises, chuchota-t-elle… Je n’ai jamais été une beauté… sauf pour ton beau-père…
— Tu veux que je t’avoue quelque chose, lui dis-je ?
— Dis toujours, mon gendre !
— Eh bien, lorsque nous passions les vacances chez vous, au bord de la mer, j’étais déjà attiré par toi, ton corps, tes formes… Par ta poitrine… Tu ne peux t’imaginer combien de fois tes seins ont occupés mes nuits.
— Mais tu n’es pas bien Romain, tu es marié ! Et avec ma fille ! Ce n’était pas suffisant ?
— Il faut croire que non ! Tu es la cause de mes fantasmes, bien involontairement bien sûr !
— Ce n’est pas possible, maugréa-t-elle entre ses lèvres, je n’ai pourtant rien fait pour t’attirer !
Surprise par ces révélations, Thérèse recula son buste, sans toutefois rompre le contact de son bas-ventre avec ma virilité raidie, pour me fixer droit dans les yeux.
— Je pense que tu me racontes des bêtises, que tu te moques de moi, murmura-t-elle… Tu ne vas pas me faire croire que tu pouvais ressentir du désir pour moi, ta belle-mère…
— Si ! Je t’ai désirée dès le jour où nous avons fait connaissance et cela n’a fait qu’augmenter au fil des années. Thérèse, il faut que je t’avoue aussi quelque chose… Lorsque nous campions ...
... tous ensemble sur le petit terrain au bord de la mer, j’ai joué au voyeur un soir et je t’ai maté dans la douche car je pouvais t’apercevoir par un angle de la paroi. Je t’ai observée longuement puis n’y tenant plus, me suis masturbé et j’ai pris un énorme plaisir. Je me suis branlé de nombreuses fois par la suite en pensant à toi, à ton corps, tes seins qui alimentaient mon imagination.
— Oh ! Romain !… Qu’est-ce que tu me dis là… Ce n’est pas possible ! Tu es un voyeur ?
— Je t’assure, tu me faisais bander à l’époque, tout autant qu’aujourd’hui !
— Ce n’est pas possible murmura-t-elle.
Prise d’un excès de pudeur, Thérèse posa ses mains sur les deux bosses qui déformaient son corsage, comme pour me les cacher, prise par une pudeur tardive. J’avais l’impression de la surprendre nue.
— Ce n’est pas possible Romain ! Tu étais marié ! répéta-t-elle plusieurs fois.
— Peut-être, lui dis-je, n’empêche que tu m’attirais déjà énormément, que je convoitais ton corps et tes seins… et encore aujourd’hui, je ne peux m’empêcher de les désirer… Je meurs d’envie de les voir, de les contempler, d’en sucer les bouts.
Thérèse, ahurie par ces révélations, ne répondait plus, se contentant de me fixer d’un air surpris et étonné. Ne pouvant contenir le désir et la passion qui me tenaillaient depuis des années, j’ai soulevé la main que ma belle-mère utilisait comme rempart, afin de protéger ses seins de mon regard concupiscent pour y poser la mienne à la place. Elle fut surprise par mon ...