1. Ma très chère belle-maman


    Datte: 20/04/2018, Catégories: fh, fplusag, extracon, amour, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, Oral pénétratio, confession, bellemere, Auteur: Alexander, Source: Revebebe

    ... perdre son mari.
    
    Le contact terriblement sensuel de ses seins contre mon torse, me travaillait étrangement. À ma grande confusion, j’ai senti que j’éprouvais un certain plaisir à percevoir la tendre élasticité de ces deux fruits de chair. Jaillissant des tréfonds de mon subconscient, une foule de souvenirs me revinrent en mémoire. Avec émotion, je me remémorai la plage et la vision éblouissante de ses seins il y a quelques années, la vue de son corps lorsqu’elle se doucha et les fantasmes qui, peu à peu, avaient commencé à naître dans mon esprit au fil des années. Combien de fois, l’avais-je imaginée en train de faire l’amour avec moi ? Combien de fois m’étais-je réveillé en pleine nuit, pensant à elle, pris d’une forte érection, et obligé de me masturber pour m’apaiser et assouvir ces fantasmes.
    
    Or, avec l’âge, Thérèse avait pris quelques rondeurs mais cela ne gênait en rien le désir que j’avais pour elle. Je la trouvais encore très attirante et désirable, même avec quelques années de plus.
    
    Étrangère à ce qui me perturbait, Thérèse ne pouvait se détacher de mon épaule, le visage enfoui à la base de mon cou. Elle trouvait, je le pense, un certain réconfort à s’abandonner aux paroles et aux caresses pleines de tendresse que je lui prodiguais.
    
    Tout en continuant de la cajoler d’une manière un peu plus sensuelle et que la bienséance aurait condamnée, je ne pouvais m’empêcher d’éprouver une certaine excitation au contact de son corps, de ses seins écrasés contre moi. ...
    ... Du fait de ses sanglots, Thérèse provoquait, bien involontairement, des ondes sur nos deux corps ce qui faisait que par moment, son ventre venait se frotter au mien, faisant naître en moi un début d’érection. Émoi qui ne fit que s’accentuer au fil des minutes, au point que, soudainement affolé, j’ai senti qu’aux frémissements de mon sexe, une érection prenait naissance dans mon slip. Paniqué, j’ai tenté de repousser ce corps chaud et sensuel qui me perturbait tant. Mais Thérèse abandonnée contre moi et tout à son chagrin s’accrochait désespérément à mon cou, inconsciente du trouble qu’elle créait bien involontairement chez moi.
    
    Sentant mon sexe se dilater inexorablement, j’ai tenté de concentrer son esprit sur le fait que le corps féminin qui se tenait étroitement lové contre moi, était celui de ma belle-mère, la mère de ma femme, la grand-mère de mes enfants. Mais rien ni fit, les frôlements incessants de son corps eurent raison de moi. Mon membre se trouva dans un état d’érection telle, que j’ai songé, affolé, qu’il allait être impossible qu’elle ne s’en aperçoive pas. Ce n’est pas le petit chemisier et la jupe légère dont Thérèse était vêtue qui allaient faire un rempart à l’excroissance qui déformait mon pantalon.
    
    Cependant, Thérèse reprit peu à peu le contrôle d’elle-même et ses sanglots s’atténuèrent. Apaisée mais désirant profiter encore un peu de ce doux réconfort que je lui offrais, elle demeura immobile contre moi, reprenant doucement ses esprits.
    
    — C’est ...
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