1. Colocation très hot (10)


    Datte: 02/10/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: mlkjhg39, Source: Xstory

    UNE COLOCATION TRES CHAUDE. 10
    
    Je m’écroule d’un coup, mon fourreau orphelin de cette bite indécente qui pointe sa solitude bien haut. Mais pour lui, rien n’est fini, il me force à reprendre la position, retire le plog de mon anus que j’avais complètement oublié, inonde mon anneau de lubrifiant et place à l’entrée de mes reins son défonce-cul.
    
    NON !!! Impossible !!! C’est impossible !!! Il va m’exploser le fion ! Je me débats, me cabre, mais il me tient solidement avec ses mains sur mes hanches.
    
    Suite :
    
    Son gland violacé se déforme sur mon anus, mais n’arrive pas à s’engager.
    
    Mon anneau cède d’un coup à la pression phénoménale du gland trigonocéphale, la douleur est plus violente qu’une décharge électrique ! Je hurle de douleur. Il ne bouge plus.
    
    — Aaaaaaaaaaah !!! Mon Dieu que ça fait maaaaal, noooooon, arrête Claude !!!
    
    Le gland est passé et mon sphincter se resserre, son gland une fois à l’intérieur reprend sa forme et le moindre mouvement est un vrai supplice.
    
    — Putain, j’ai trop mal ! Ton bélier me casse le cul !!! Arrête !!
    
    J’ai si mal que je jette ma main sur cette barre de fer chauffée au rouge pour tenter d’interrompre son mouvement. Son énorme gland glisse lentement en moi de plus en plus loin, la douleur est si intense que je n’arrête plus de hurler.
    
    — Aiiieeeeeee ! Oooohhhhahhaa, ohhh seigneurrrr nnnooonnn !!!... Arrête, j’en peux plus ouyyouyouyeuuueeee ça fait trop mal...
    
    Et Dory d’en rajouter :
    
    — Tu en baves ? C’est ...
    ... fascinant. Tu crois qu’il réussira à te l’enfiler jusqu’aux couilles ? La moitié du morceau est déjà dans la place.
    
    A mesure que la dilatation anale s’intensifie, je donne des signes de capitulation. Je tremble tellement que mes membres ne me portent plus et je m’abats lourdement sur son corps.
    
    — Tu pleures Lee ? Tu y es presque arrivée. Je continue ?
    
    — Tu veux dire que !
    
    — Que tu n’en es qu’à la moitié !
    
    — Tu ne vas pas me dire que, qu’il faut que je prenne tout ?
    
    — Tu en es capable. Je te laisse faire.
    
    Mais en même temps que je gueule comme une truie à l’abattoir, j’en veux encore comme une véritable chienne. Maintenant, la douleur est à la frontière du supportable, mes doigts s’incrustent dans sa chair. Mes hurlements, mes larmes et mes grimaces de souffrance redoublent encore à chaque centimètre supplémentaire de son pal. Je me défonce le croupion de toute sa monstrueuse bite d’âne jusqu’à ce que mes fesses tapent sur son ventre. Il est tout au fond de moi au plus profond de mon corps. Mes larmes coulent sur mes joues, ce sont plus des larmes de douleur que de plaisir.
    
    Je tourne la tête vers mon enculeur, pose les pieds au sol et me repousse des mains du bas-ventre de l’étalon infatigable, lui demandant grâce.
    
    — Aiiiieeeee oôöôhhh ! Continue, mais vas-y doucement... ouiii... doucement comme ça ...
    
    — Ca va mieux ? C’est que tu commences à bien t’assouplir. Ton cul est merveilleux, encore plus serré que ta chatte.
    
    Et me voilà à bouger mon cul ...
«1234»