1. après la plage... (1)


    Datte: 01/10/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Tess85, Source: Xstory

    ... ne jamais se retourner. Cela signifie que l’on part. Définitivement. Si on se retourne une fois, le type pense qu’on est émue par la situation... Deux fois, on lui fait faire quelques pas vers soi. Quand on tourne d’un coup vers un énorme bosquet, à l’opposé du chemin que l’on suivait, on parle avec son corps, ses attitudes.
    
    On dit à l’homme qu’on s’arrête là. Et on ne va pas faire pipi, c’est déjà fait.
    
    Toute nue dans le bosquet, j’ai été prise de frissons . La densité de la végétation m’empêchait de bien voir mais le sable qui crissait sous ses pas m’envoyait les informations nécessaires. Il venait !
    
    Et après ? Qu’allait-il faire ? Et moi ? Pauvre folle ?
    
    Il est entré dans cette coupole de végétation et on s’est retrouvés face à face, nus, à deux mètres l’un de l’autre. Il paraissait ne pas trop y croire.
    
    Alors je me suis accroupie, les cuisses bien ouvertes et je me suis caressée. Les seins, la chatte. Il a commencé à se branler. Très vite il a durci. Une très belle bite bien dressée. Il a commencé à souffler fort, regardant sans cesse derrière lui si quelqu’un venait.
    
    Il s’est encore approché puis il s’est mis à genoux dans le sable. À cinquante centimètres de moi. Sa queue était maintenant assez énorme. On se regardait dans les yeux de temps à autre puis on matait nos sexes, tous les deux ahuris par le spectacle sublime de l’autre et notre audace, cette folie...
    
    puis il a encore gagné vingt centimètres vers moi en glissant ses genoux l’un après ...
    ... l’autre. Puis il a tendu le bras...et ses doigts ont touché ma cuisse...
    
    On a eu le même sursaut de plaisir. Alors j’ai écarté encore plus mes cuisses et il a amené son gland à trois ou quatre centimètres de ma chatte qui mouillait terriblement...
    
    Il ne cessait de regarder derrière lui, vers l’entrée du bosquet... .
    
    Alors j’ai tendu la main et j’ai pris sa bite. Il a presque crié de plaisir. Je l’ai branlé doucement tout en continuant à me toucher.
    
    Il a senti que je n’irai pas plus loin, qu’il ne me pénétrerait pas. J’ai accéléré le geste pour qu’il gicle sur moi. Il tenait bon, le cochon, tandis que mon plaisir venait, venait...
    
    Et puis... j’ai tendu mon bassin et j’ai caressé ma chatte avec son gland. Il en est devenu rouge de plaisir. Et moi alors...je n ’ai pas résisté et lentement, je me suis empalée sur sa colonne de chair. J’ai posé mes pieds de part et d’autre de ses genoux enfoncés dans le sable et j’ai poussé jusqu’à ce que sa bite entre entièrement en moi.
    
    Il a posé ses mains sur mes hanches, il m’a emprisonné et il m’a pilonné.
    
    Alors j’ai compris pourquoi il s’inquiétait de savoir si on était "seuls"...
    
    Un autre homme est entré sous le bosquet. Un autre type aussi costaud que mon baiseru. Sûrement moins âgé mais à la bite déjà raide et longue.
    
    Mon baiseur a paru contrarié en le sentant se branler dans son dos tandis qu’il me ramonait. Et moi, alors ? Divers sentiments confus, de honte, de plaisir...
    
    Je m’offrais à un vieux sous le regard ...