Il m'a appelé Madame!
Datte: 01/10/2020,
Catégories:
Mature,
Première fois
Auteur: Damemature, Source: xHamster
... reprit vite ses esprits lorsque je sortis ma carte de crédit.
Bon, finis de jouer ! Il est grand temps de rejoindre la chambre pour me préparer. Je savoure pleinement ces instants où je défroisse mes vêtements pour les poser sur le lit, où j’installe mon maquillage sur la tablette de la salle de bain, où je plonge le nez dans ma perruque pour m’enivrer de son parfum. Ces moments uniques ne cessent de me ravir. Il faut aussi ajouter celui où j’enfile mes bas. C’est presque un rituel, une cérémonie magnifique qui achève de me transformer en femme. Cet après-midi là, j’inaugurais un porte-jarretelle très léger tout en dentelle qui se mariai parfaitement avec mes bas noirs à liserai. Lorsque la robe vint enfin cacher le tout, en enveloppant mes atouts comme un fin papier de soie, le frisson qui parcouru mon corps aurait suffit à vous faire comprendre et partager (bien au-delà des mots) mon éphémère jouissance.
Enfin prête, c’est généralement debout, face au miroir (encore lui!) que je commence à cogiter sérieusement. Les questions ne manquent pas : est-il au moins fidèle à sa photo, ce mystérieux inconnu ? Se montrera-t-il fébrile , nerveux, ou bien, au contraire, très sûr de lui, ? Et puis, la question la plus difficile de toutes, bien entendu : va-t-il me trouver à son goût ?
En entendant frapper très doucement à la porte de la chambre, j’avais déjà répondu à quelques-unes de ces questions.
Il était grand, les cheveux blonds coupés au carré, avec une expression ...
... presque indifférente mais, un regard aigu avec des beaux yeux verts. Je devinai aussitôt que la timidité seule l’empêchait de se mouvoir normalement. Il portait le petit costume très ajusté des jeunes hommes d’aujourd’hui. Un peu gauche, il s’avança dans la chambre, manquant se prendre les pieds dans le tapis. Je lui présentai le fauteuil et vint me placer face à lui, debout. Timide, oui, sûrement mais gourmand également ! Il me dévora des yeux sans aucune retenue. Je ne crois pas qu’une seule partie de mon anatomie n’est échappé à son inspection.
Je lui laissai savourer ce moment puis Je fis un pas en avant et lui caressai la joue. Le seul contact de ma main l’électrisa et le fit frissonner comme s’il venait de recevoir une bourrasque de vent ! Je me penchai encore et lui murmurai à l’oreille :
-Pas trop déçu ?
-Euh… Non…
(les mots avaient beaucoup de mal à sortir de sa bouche)
-Vous.. Vous êtes magnifique… Ajouta-t-il dans un effort pour se ressaisir.
Je murmurai un « merci » dans son oreille, devenue rouge.
Pour apaiser un peu cette envahissante tension, je décidai de m’occuper des rafraîchissements. Ses yeux sans cesse en mouvements me suivirent jusqu’au réfrigérateur et à la table basse, mais, ne s’occupèrent jamais de la bouteille de champagne ni des flûtes, préférant mes chaussures, mes bas, mes courbes. Le bruissement soyeux de ma robe sur mes hanches le fit presque sursauter. Il but le verre que je lui proposai mais, beaucoup trop vite, comme celui ...