1. Changement de rôle !


    Datte: 01/10/2020, Catégories: fh, hplusag, fplusag, couleurs, couplus, cocus, Collègues / Travail vacances, fsoumise, miroir, BDSM / Fétichisme 69, préservati, pénétratio, fsodo, échange, yeuxbandés, confession, Auteur: Faustine, Source: Revebebe

    ... vois des coulures du foutre de mon mari. Mais bien plantée en terre, emportée par sa défense elle reprend :
    
    — Tu vois. Je me suis laissé avoir. C’est après cette nuit que je voulais te faire une surprise et demander conseil à… Elle me montre du doigt… Et avec son mari elle m’a séduite. Après, il me faisait chanter.
    
    François l’a suivie du regard. Il a regardé tout ce qu’elle lui montre.
    
    — Tu as raison, dit-il.
    — Tu vois ! Tu vois ! Elle crie victoire.
    
    Mais François reprend :
    
    — Tu as raison. Ce n’est pas chez nous qu’on pourrait trouver ce genre de vêtements, de lingerie et de gadgets sexuels. Cela ne risque pas avec la femme que j’ai.
    — Mais…
    — Ma femme, elle, préfère se masturber à son travail, fantasmant sur un homme de ménage. Fantasme qu’elle dit ne pas avoir réalisé, mais quand on la connaît, ce qu’elle veut, elle finit toujours par l’avoir.
    — François. Jamais. Tu n’as pas le droit.
    
    Elle a élevé le ton.
    
    — Tais-toi… Oui, tais-toi, salope. Laisse-moi continuer. Et cette femme qui rentre chez elle, retrouve son mari, le rabroue s’il ose s’approcher d’elle avec des « pensées lubriques ». Avec lui, elle fait le minimum. S’il a le culot d’acheter un peu de lingerie légèrement coquine, elle la refuse sous le prétexte qu’elle n’est pas une pute.
    — Je m’excuse.
    
    Le ton a changé. Elle est mal à l’aise.
    
    — Et elle qui se dit bien éduquée, bourgeoise jusqu’au ridicule, se permet de traiter nos hôtes de pervers, de vicieux. Mais tu vois, eux au moins, ...
    ... ils partagent tout. Ils assument ensemble leurs désirs. Et Dieu que je les envie. Tu veux que je te dise, ma chérie, eh bien j’ai rêvé que tu prennes un amant. Oh oui, un amant qui te décoincerait. Et dans ce rêve j’en récoltais au moins des miettes. Des miettes que ta culpabilité te dirait d’en rapporter à ton mari. Un mari, fidèle, amoureux à qui il arrive de se masturber avec une de tes culottes.
    — Je suis désolée, mais…
    — Tais-toi donc. Moi, je veux tout te dire. J’ai adoré lorsque cet après-midi tu es revenue dans la chambre, tout excitée, pas étonnant qu’il ait neigé, que tu m’aies sucé et que tu m’as chevauché. Je sais maintenant que mon rêve n’était pas que le fruit de mon imagination, que tu sortais des bras de nos amis et que si j’avais trouvé ta chatte tout humide c’est qu’elle avait encore des traces du foutre de Marc… Comme actuellement.
    
    Éloïse suit son regard. Elle découvre les souillures. Et encore elle ne voit pas son visage défait avec encore des traces de salive. Elle cherche à cacher son intimité.
    
    — Enlève cette main. Assume. Bon Dieu, assume. Et arrête de me parler de « chantage ». Assume !
    
    Elle obéit. Il est vrai que le ton de son mari ne supporte pas la réplique.
    
    — Oh, juste une chose avant que je parte. De toute façon cela ne changera rien. As-tu couché avec ce noir ? As-tu couché avec un autre que moi ?
    — Non, non. Jamais je n’aurais… Elle se rend compte de son état et de ce que nous avons vu. Sauf ici avec… Marc et… Maryse.
    
    François ne ...
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