1. Changement de rôle !


    Datte: 01/10/2020, Catégories: fh, hplusag, fplusag, couleurs, couplus, cocus, Collègues / Travail vacances, fsoumise, miroir, BDSM / Fétichisme 69, préservati, pénétratio, fsodo, échange, yeuxbandés, confession, Auteur: Faustine, Source: Revebebe

    ... queue qui se glisse en elle.
    
    — Tu le sens.
    
    Elle ne peut que dire un petit oui de la tête.
    
    — Il est de plus en plus gros. Tu le lèches. Tu le suces. Tu fais de ton mieux pour satisfaire cet homme. Mais il est si excité qu’il t’étouffe. Un instant tu as peur qu’il répande sa crème dans ta gorge. Un reste de lucidité te fait réaliser qu’il n’est pas protégé. Mais il ne te laisse plus libre. Ses mains enserrent ta tête. Elles l’immobilisent et il te baise avec sa queue, sans retenue.
    
    Marc reproduit son scénario. Éloïse est immobilisée par les mains, mais contrairement au fantasme raconté, elle pourrait s’en libérer.
    
    — Tu sens son gland tout au fond de ta gorge. Il te fait tousser, cracher, mais tu ne le refuses pas.
    
    Le grognement est imperceptible, bruit étouffé dès que produit. Mais Marc arrête. Éloïse tousse, de la salive s’écoule de ses lèvres. Le visage a changé. De la bourgeoise propre sur elle, il ne reste pas grand-chose.
    
    — Tu es rassurée. Il n’a pas juté dans ta bouche. Mais il ne veut pas en rester là. Toi non plus d’ailleurs. Tu as déjà tout imaginé avec cet homme, mais il n’entre pas dans ton jeu. Il a une revanche à prendre sur ces femmes qui le toisent de haut. Ces bourgeoises dont certaines n’ont pas peur de vouloir l’attirer dans leur lit. Sous des airs de jeune homme, il a de l’expérience. Il te fait sortir de ton fauteuil. Oh, pas brutalement, mais en te guidant. Il te fait mettre sur le sol, à genoux, puis il te guide à quatre pattes. Mais ...
    ... cela ne lui suffit pas encore il veut que ton visage touche le sol, cette moquette qu’il passe tant d’heures à nettoyer et que toi tu ne remarques même pas.
    
    Éloïse est coopérative. François et moi nous approchons un peu plus. Les miroirs nous renvoient maintenant nos images. François est en stupeur. On peut le comprendre. Cette femme qui se laisse guider pour se placer en chienne, la croupe offerte, les cuisses écartées dans un réflexe de salope. Une femelle qui se cache derrière un bandeau.
    
    — Il passe sa main sur ta chatte. « Tu mouilles salope », dit Abdou. Il n’est plus l’employé, il est le maître. Tu entends l’espace d’une seconde le bruit d’un sachet qu’on déchire et qui tombe devant tes yeux. Un préservatif. Ouf, te voici rassurée. Il presse son gland sur ta fente. Il le pousse. Le lubrifiant du latex fait son office. À moins que ce soit toi qui es déjà si humide, alors que d’habitude tu dois te lubrifier ou laisser ton mari t’enduire de salive.
    — Ohhhhhhhhhhhhh.
    — Oui, c’est facile. Tu es grande ouverte et la bite que tu as entrevue et mesurée à l’aune de ta bouche semble se glisser dans de la crème.
    — Ohhhhh.
    — C’est bon, hein salope ? T’aimes cela ? Tu te croyais au-dessus de tout cela. Dis-lui que tu aimes. Que tu fantasmais sur lui. Que tu seras toujours disponible pour lui. Au bureau ou ailleurs, pourvu qu’il te baise comme une femelle et pas comme une bourgeoise…
    
    On ne sait plus qui d’Abdou ou de Marc est censé baiser Éloïse. La scène est forte. Le ...
«12...151617...24»