Changement de rôle ! - Histoires de Sexe

Changement de rôle !

... passée. Elle se retrouve sur le lit avec deux étrangers. Je la câline doucement. Marc dépose un baiser délicat sur les lèvres avec « Merci, c’était très bon » comme si c’est elle qui l’avait attiré. Je l’aide à enlever la robe. Je lui passe ses habits.

— S’il vous plaît, il ne faut pas que François sache.

Marc sourit :

— Moi je ne lui dirai pas. Mais tu devrais le rejoindre et te faire pardonner, même s’il ne sait pas. Une petite baise, par exemple. Une bonne pipe avant de le chevaucher.

Et se saisissant de sa petite culotte qu’elle s’apprête à remettre.

— Je la garde en souvenir. Tu vas voir, chevaucher son mari encore grasse du foutre d’un autre, c’est encore plus excitant.
— Mais il va…
— Tu soulèves juste ta jupe avant de te prendre sur lui. Tu penseras à moi. Tu verras c’est super. Hein, chérie ?

La conversation est surréaliste. Marc qui donne des conseils et le pire c’est qu’elle ne proteste pas.

— Oui. La jouissance est plus forte.
— Tu vois. Et je te donnerai d’autres conseils. Tu verras, il ne te reconnaîtra pas.

Elle va quitter la chambre :

— Vous n’en parlerez pas à François. Promis ?

Je fais oui de la tête, mais Marc insiste :

— N’oublie pas de te faire pardonner. Il a bien droit à une compensation.

Après son départ, je dis à Marc qu’il y a été un peu fort. Lui parler si crûment ! L’inciter à baiser avec son mari en gardant le foutre ! C’est trop pour elle ! Elle va retrouver ses habitudes, même si le strip-poker et surtout ...

... ce qu’on vient de faire avec elle, auront été une parenthèse qu’elle va chasser de sa mémoire.

— Tu vas voir. Elle va ressortir de la chambre avec son mari et sous un prétexte quelconque partir de chez nous. Ainsi pas de témoins ou quiconque qui pourrait lui rappeler sa « faute ».
— Je ne crois pas. Cette femme a besoin qu’on lui parle avec autorité. Pour elle, la pire des transgressions c’est sa perte d’autorité. Et reconnais que je l’ai bien manipulée avec les bijoux à tétons.
— Hé ! J’avais fait le plus gros du travail. Sans ton entrée inopinée, moi aussi j’allais conclure. Vantard.
— Et si on allait écouter aux portes ?
— Vicieux. Pervers !
— Cochonne !

**********

Le pire, c’est qu’il a raison. On entend derrière la porte la voix de François :

— — Oh, Chérie. C’est bon. Que tu es belle ! Coquine ! Il y a si longtemps que nous n’avons pas eu de sieste crapuleuse… Et après cette nuit… C’est cette maison qui t’inspire… Oui… Oui… Si c’est vrai, je l’achète tout de suite. Peut-être que Marc t’inspire aussi… Aie… D’accord. D’accord. Putain que tu es humide… Ahhhhh.
— Et toi, Maryse elle ne t’inspire pas ? Vieux cochon. J’avais honte de la façon dont tu la regardais.
— Je reconnais. Elle est sensuelle. Mais ses seins sont plus petits que les tiens. Plus petits…
— Continue, tords-moi les tétons… Oui…
— Coquine…
— Cochon…
— Tu vois. J’avais raison. Cette femme il lui faut un homme qui la dirige et ce n’est pas rabaisser son mari de dire qu’il n’est pas dans ...