Le baiser de Tarentula - 15h50 - Histoires de Sexe

Le baiser de Tarentula - 15h50

... contemple maintenant cette source, fasciné. Ma gorge est sèche, j'ai tellement envie d'y goûter, de coller ma bouche contre ce... c'est un sexe, un sexe de femme. Un beau sexe féminin, doux et chaud. J'ouvre la bouche avidement, j'essaye de me rapprocher davantage mais je n'y arrive pas. C'est comme si la distance entre ma bouche et cette source était élastique, comme si les quelques centimètres entre nous devenaient des kilomètres. Je comprend que la source assouvira ma soif quand elle l'aura décidée. Je la supplie maintenant. Je l'implore. Je me prosterne devant elle. Il faut que j'ouvre la bouche, que je lui montre à quel point que la désire, à quel point je lui suis dévoué. Je sens des larmes couler le long de mes joues. Je voudrais tellement accéder à ce bonheur infini. Puis, enfin, je sens une force irrésistible m'attirer vers elle comme si je franchissait des millions de kilomètres en un éclair. Ma bouche rentre enfin en contact avec la source. La voix me félicite et m'encourage, je dois être prêt a recevoir ce précieux cadeau, a veiller à ne pas perdre la moindre goûte de ce nectar. Si je faisait cela ce serait un impardonnable gâchis. Je sens ce sexe chaud contre ma bouche, il bouge doucement, et je me soude à lui. Aucune force ne pourrait m'en détacher, c'est comme si nous ne faisions qu'un, comme si la peau de mes lèvres continuait pour ne former qu'un avec ce sexe. Il faut que montre à quel point je désire la boire, à quel point je souhaite lui être agréable. Je ...

... ne peux pas parler mais je peux lécher ce sexe. Je le fait avec avidité et de très loin j'entends le plaisir que cela lui procure. Je reconnaît le rire de Gaëlle. Est-ce que c'est sa chatte ? Ça se pourrait oui ! Elle ne peux pas savoir ce que je suis en train de vivre. Je suis dans cet ailleurs où rien ne peux m'atteindre. Dans cet ailleurs où tout n'est que plaisir et volupté. Soudain ma bouche se rempli et j'avale. C'est au delà de tout ce que j'avais pu imaginer. Je ressent un plaisir indicible. Mon sexe n'a jamais été aussi dur. Quelque part je sais que Gaëlle à recommencé, qu'elle se délecte de se servir de moi comme d'un urinoir mais combien doit être faible son plaisir comparé au mien ! La source dorée coule en moi. Je l’accueille avec félicité. Je sens le goût de la pisse mais c'est aussi autre chose, comme un sucre que n’écœure jamais, un arôme inconnu, la boisson céleste. C'est tiède et pourtant c'est au delà de la fraîcheur, une température impossible dans le monde réel. Cette sorte de fraîcheur me désaltère le corps et l'âme. Ma tête est si légère. Le moindre souci est banni à tout jamais. Et mon cœur est rempli d’allégresse et de gratitude. Gaëlle s'en donne à cœur joie. Fais toi plaisir ma belle ! J'avalerai un océan de cette liqueur merveilleuse. J'entends merci, je pense merci. Merci merci encore et merci encore. Je suis merci. Puis ça s'arrête. La voix me pose en douceur sur les coussins. Je peux dormir maintenant. Mon cœur a trouvé la paix...

Quand j'ai ...