1. COLLECTION SOUMISE. Je deviens un objet sexuel. La vengeance des lapinous. (13/13)


    Datte: 20/04/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... retraite.
    
    Nous portons mon Maître qui m’a abandonné dans sa maison, sur son lit de mort.
    
    Le Doc appelle la gendarmerie, qui constate qu’il a fait les choses bien, c’est un docteur.
    
    Je lui fais sa toilette enlevant toutes traces de sperme qui pourraient les intriguer.
    
    En les attendant, Fred et Jacques ont nettoyé la grange, plaçant des bottes de paille devant ma cage et enlevant le palan.
    
    Dans la cuisine, Doc a placé un jeu de cartes et des jetons faisant croire qu’une partie de poker était en cours.
    
    • Il est tombé tout debout.
    
    Regardez, il avait une quinte royale servie, la donne que tout joueur de poker souhaite toucher un jour.
    
    Il savait qu’il avait des problèmes de cœur, il avait déjà fait deux attaques, j’avais réussi à ce qu’il réduise son travail en vendant ses vaches, mais ce jeu très peu vue pour les joueurs de poker lui a été fatale.
    
    Dans les jours suivants, j’ai attendu avant de partir qu’il soit enterré dans un petit cimetière, non loin de la ferme.
    
    Jacques m’a acheté une robe de deuil.
    
    J’allais repartir quand le vieux téléphone a sonné, c’était Jacques.
    
    • Peux-tu me rejoindre, place du marché, le notaire demande à te voir.
    
    • Je n’ai pas de moyen de locomotion, j’étais venue en taxi.
    
    • Je t’en envoie un, il va te conduire près de moi.
    
    Depuis que je suis seule, j’ai gardé cette robe noire, quand je vois arriver deux jeunes d’une trentaine d’années.
    
    • Monsieur Albert est-il là ? Nous avons loué son chalet pour ...
    ... huit jours, nous allons étudier la faune dans cette partie de massif des Bauges !
    
    Le taxi arrive.
    
    • Voici la clef, installez-vous, je dois descendre à Aix, je reviens rapidement.
    
    Quand je remonte, j’ai appris que j’étais l’héritière de mon Maître.
    
    Il avait signé un testament donnant tous ses biens à la dernière femme qui aurait accepté de partager sa vie.
    
    J’étais celle-là avec comme témoin Fred, le plombier, Doc le médecin et surtout Jacques le propre frère du défunt.
    
    Je signe tous les papiers y compris un compte en banque plus que garni.
    
    Nous buvons un verre avec Jacques avant de retourner chez moi m’occuper de mon jeune couple, il aurait pu contester mon héritage, mais ne le fait pas.
    
    • Te rends-tu compte, dire, qu’avant qu’il ne meure sur mon dos, j’ai ressenti une grande chaleur en moi.
    
    • Merde, il t’a refilé son don.
    
    Maman c’est quand elle le tenait ses mains qu’il est devenu le guérisseur qu’il était.
    
    Attends, on va voir. Ginette, viens ici, allais-tu toujours chez mon frère un samedi sur quatre ?
    
    • Oui, je devais y monter samedi prochain, quel malheur.
    
    • Simone, je crois que c’est ainsi que le notaire t’a appelé, place tes mains sur le ventre de Ginette.
    
    Depuis toujours elle a des problèmes gastriques et de flatulence ce qui est un gros handicape dans son commerce, elle pète au nez des gens.
    
    Nous entendons un gros pet, par chance sans odeur, je place mes mains sur son ventre.
    
    • Incroyable, mieux qu’Albert, je vous dois ...